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0.9 hrs on record
Rigolo 5min mais la jouabilité est aux fraises et l'optimisation est absente. Encore un jeu reçu gratuitement...ouf !
Posted July 2, 2018.
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2.7 hrs on record
Bien nul. Heureusement que je l'ai chopé gratos.
Posted July 2, 2018.
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44.3 hrs on record (40.5 hrs at review time)
Introduction

Au préalable, je tiens à préciser que j'ai effectué mon premier run de Dark Souls sur l'édition originale Prepare to die et que j'ai près de 120h sur l'ancien jeu. J'ai également terminé Dark Souls II et III. Je connais donc plutôt bien les mécaniques du jeu ainsi que son histoire. Je pense donc que mon avis sera constructif pour quelqu’un qui hésite à acheter ces jeux où qui désir en savoir plus.

Avant d’avoir joué au premier Dark Souls j’avais un a priori fortement négatif sur la série. J’y voyais un jeu très sombre et glauque, peu d’interactions avec l’environnement ou des PNJs et surtout je pensais ce jeu juste bon pour mourir en boucle et rager sans procurer un quelconque plaisir ou intéressement. A l’époque j’ai donc acheté The Witcher 2 en me disant que cette saga me conviendrait bien mieux. Mais au bout de 12h sur The Witcher je me suis profondément ennuyé. Trop de cinématiques, trop de blabla, trop de scènes d’action que le joueur ne peut pas effectuer. Bref j’étais bien déçu. J’avais un ami qui lui à côté s’éclatait bien sur Dark Souls alors étant donné que c’était encore les soldes Steam je me suis dit « et pourquoi pas ? ». Et me voilà donc sur Dark Souls : Prepare to die edition.

Le jeu

Ça commence donc par une cinématique d’intro qui vous explique le contexte du monde dans lequel vous allez évoluer et la raison d’être de votre personnage. Rien que par cette cinématique je me trouve déjà captivé par l’histoire (« le Lore » comme on dit) du jeu. S’ensuit la zone tutoriel où les infos de base de la survie dans le jeu (c’est-à-dire le combat et la régénération de point de vie) vous sont expliquées de manière sporadique via des messages gravé dans le sol et déjà vous vous retrouvez à devoir combattre le gardien de votre prison (le boss du tuto). Vous êtes ensuite directement plongé dans le jeu.

J’arrêter là le spoil du jeu et vais expliquer de manière général le contenu. Vous êtes donc un humain maudit par la marque sombre qui fait de vous un mort-vivant. Chaque mort vous fait revenir à la vie à un feu de camp, ceux-ci constituent les checkpoints du jeu que vous devrez trouver et allumer tout au long de votre périple. Les feux de camps permettent également de s’y reposer pour regagner tous ses points de vie et ses fioles de soins ainsi que monter en niveau et améliorer ses statistiques. En effet votre personnage possède différentes statistiques comme la force, la dextérité, l’intelligence ou la foi. Faire évoluer ces stats orientera votre façon de jouer car vous ne pourrez pas toutes les améliorer et il faudra en délaisser certaines. La force permet bien sûr d’utiliser des armes de corps à corps très puissante. Au contraire se baser sur l’intelligence vous permettra de maîtriser la magie et ses sorts dévastateur. Au début du jeu vous aurez le choix entre différentes classes (chevalier, sorcier, voleur, clerc…), ce choix de classe ne va pas vous enfermer de manière définitive dans un style de jeu il permettra simplement de mieux vous orienter (il est judicieux de prendre une classe sorcier si l’on souhaite jouer magie car vous posséderez déjà des points en intelligence ainsi que des sorts de base mais si finalement vous décidez de jouer plutôt les armes de corps à corps rien ne vous empêche d’améliorer votre force et votre endurance bien que votre classe de base soit un sorcier).
Chaque ennemi abattu vous rapportera des âmes, généralement le nombre d’âmes laissées par un ennemi est proportionnel à la difficulté que représente l’ennemi (les boss laissent énormément d’âmes une fois vaincu) ces âmes représentent l’XP et permettent d’améliorer vos statistiques et de monter en niveau. Elles représentent également la monnaie dans le jeu, c’est avec elle que vous payerai pour acheter des objets et forger des armes.

Il faut savoir que le jeu est extrêmement punitif et sadique, les monstres frappent très fort et sont positionnés de manière très vicieuse, il y a des pièges, des inscriptions qui induisent en erreur. Vous ferez face au poison, au saignement à la toxicité et la malédiction et surtout à chaque fois que vous mourrez ou que vous vous reposez à un feu tous les monstres sont réinitialisés. Il faut donc bien réfléchir avant d’effectuer une action et l’observation du décor et la fouille du moindre recoin est vivement recommandé car vos pourriez découvrir quelque chose qui vous facilitera la vie.

Le jeu se découpe en différentes zones toutes très réussi. Généralement une zone comprend un boss qui en marque la fin et dont la défaite est nécessaire pour continuer à avancer. Le level design du jeu est vraiment impressionnant, toutes les zones sont finalement connectées via des raccourcis ou des passages secrets. Chaque zone possède son identité propre (ambiance, architecture, musique, monstres…) et la faune et la flore sont bien diversifiée. Vous pourrez également ramasser et utiliser de très nombreuses armes et armures. Toutes ses armes sont améliorables via un système de forge qui peut sembler assez complexe au début mais des guides très bien fait se trouve sur internet. Chaque arme ou sortilège possède, en plus de ses dégâts de base, un bonus de dégâts lié à une ou plusieurs statistiques de votre personnage. Il est donc intéressant d’utiliser les armes possédant les meilleurs bonus sur vos statistiques les plus élevées.

Pour se guider dans le jeu il faudra discuter avec les différents personnages que l’on trouve ça et là. Certains de ses personnages pourront également vous venir en aide lors de combat ou bien vous offrir des objets uniques si vous les aidez et les respectez (réfléchissez bien avant de vouloir tuer un pnj car c’est définitif). Lire la description des objets que vous ramasserez vous permettra d’en apprendre plus sur l’histoire du jeu mais pourra également vous donner des informations (parfois cruciale) sur la suite des évènements. Le joueur est donc maître de son histoire, c’est à lui de découvrir quelles actions exécuter et dans quel ordre.

Le remaster

Je m’arrête là en ce qui concerne l’explication et l’évaluation du jeu, il y aurait tellement à dire et j’aime tellement ce jeu… En ce qui concerne la version remaster qui viens de sortir. Alors oui elle est très cher (je l’ai eu à moitié prix car je possédais déjà l’ancienne version) je conseillerai plutôt d’acheter le jeu en solde ou sur un site tiers.
Le jeu est certes plus beau et plus fluide que l’ancien mais ce qui m’a décidé à acheter cette nouvelle version c’est la refonte du système de coopération. En effet le système de coop dans la première version était désastreux. Maintenant les développeurs ont mis en place le même système que dans le III c’est-à-dire que vous pouvez jouer en coop avec n’importe qui ou avec seulement vos amis via un mot de passe. Il n’y a plus de restriction de niveau pour jouer en coop, si votre ami a un personnage très haut niveau vous pourrez tout de même jouer avec lui dans votre partie, ses statistiques seront proportionnellement revus à la baisse pour correspondre à votre niveau. Bref c’est vraiment sympa de pouvoir se faire de la coop sur Dark Souls I. Par ailleurs, la refonte du système de coop a également augmenté le nombre d’envahissement, car vous pouvez être envahi dans votre partie par un autre joueur hostile qui cherchera à vous tuer. Cette facette peut être un peu agaçante car certains joueurs sont juste là pour construire leur personnage axé sur les combats d’envahissement et envahissent en boucle. Si vous souhaitez éviter cela vous pouvez jouer déconnecté des serveurs ou bien sous forme de carcasse.

Conclusion

Je recommande donc très fortement ce jeu, et je vous conseille d’attaquer la série Dark Souls par le numéro 1 au lieu de sauter sur le 3. Vous pourrez ainsi mieux comprendre l’histoire et les mécaniques de jeu.
N’hésitez pas à m’ajouter en ami sur Steam pour jouer en coop.
Posted June 19, 2018. Last edited November 28, 2018.
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53.8 hrs on record (52.5 hrs at review time)
Après une douzaine d'heure de jeu je me décide à écrire une courte évaluation, qui pourra ensuite être étoffé ou modifié par mes soins. En effet, je pense qu'il est très important pour ce type de jeu (indépendant et très attendu) de recevoir des évaluations dans les premières semaines qui suivent sa sortie. Bien souvent c'est les premiers avis du public qui décideront de la réussite commerciale et célébrité du jeu.
Le jeu est vraiment très intéressant et différent de ce que à quoi on est habitué. Tout d'abord d'un point de vue graphismes et optimisation... ce n'est pas si terrible que ça, j'ai une carte graphique GTX 1050 (2GB), un processeur Intel Core i5-7300HQ et 8Go de RAM et le jeu tourne à 60fps avec une qualité graphique définie sur "low" dans les options mais le jeu reste très joli je trouve. Quelques patchs d'optimisation ne serait tout de même pas de refus.
L'histoire et le gameplay sont très réalistes, en effet grâce à l'histoire et au informations que l'on découvre en jeu on en apprend beaucoup sur la région de la Bohême au Moyen-Age. De plus les environnement, armes, vêtements et accessoires sont fidèlement reproduit. La jouabilité est extrêmement réaliste et c'est ce qui fait toute la difficulté du jeu. Notre personnage étant un jeune fils de forgeron il ne connait rien au maniement de l'épée ou à l'équitation et encore moins à l'archerie. Vous devrez donc dans un premier temps vous acquittez des tâches à votre hauteur et vous entaîner dur. Le système de progression de vos connaissances et capacité est justement très plaisant. En effet ici vous n'amassez pas des points d'XP que vous redistribuez ensuite comme vous voulez sur vos statistiques. Ici, le jeu vous fera progresser sur les compétences et connaissance que vous utilisez. Par exemple si vous vous entraîner à l'épée, combattez des bandits l'arme à la main ou arpentez les routes à cheval vous gagnerez des points de compétences en combat, combat à l'épée et équitation. Par contre si vous ne touchez pas un seul arc de votre vie ou une lance vous ne serez jamais bon à l'arc ou au combat à la lance. Il en va de même pour toutes les autres compétences : vol à la tire, crochetage, alchimie, médecine, lecture (oui au début vous ne savez pas lire, il faudra apprendre et le fait de savoir lire vous permettra d'apprendre de nouvelles choses).
La carte où l'on évolue est vraiment très vaste et on y trouve bon nombres de quêtes, en plus de la quête principale, et qui vous permettront de gagner de l'argent ou d'acquérir de nouvelles compétences ou de nouveaux objets. Par ailleurs, le système de sauvegarde est assez contraingant, en effet le jeu sauvegarde automatiquement à certains moments préçis (début fin de quête) mais il peut se passer 2h sans qu'aucune sauvegarde ne soit faite et donc si il nous arrive quelque chose on est bon pour recommencer 2h de jeu. Il est possible de sauvegarder manuellement mais seulement si on possède une fiole de boisson spécifique dans son inventaire (Schnapps du sauveur), le fait de sauvegarder consommera la boisson et il faudra en acheter (minimum 100 pièces d'or c'est très cher) ou en fabriquer (encore faut il avoir appris la compétence). HEUREUSEMENT, un mod de sauvegarde illimité est sorti presque en même temps que le jeu, ce mode est simple à trouver sur internet et à installer et il vous permet de sauvegarder à votre guise sans boisson spécifique (les sauvegarde en plein combat reste impossible ce qui est, je trouve, normal).
L'histoire est vraiment intéressante, les combats sont très réalistes et dur à appréhender au début mais cela devient très jouissif de gagner en expérience de combat et de terrasser des ennemis.
Je recommande donc ce jeu mais il faut aimer jouer lentement et ne pas être rebuté pas la difficulté.
Posted February 18, 2018. Last edited November 21, 2018.
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8.3 hrs on record
J’ai acheté Sniper Elite III durant des soldes Steam et j’ai été extrêmement déçu de ce jeu. J’ai acheté le numéro III sans avoir essayé les précédents opus tout simplement parce que je ne comptais pas me jeter dans la série complète, que le jeu était aussi cher que les deux autres (durant les soldes) et parce que je voulais quand même des graphismes un peu plus jolis. C’est pourquoi je ne pourrais pas comparer mon ressenti du III avec les autres jeux de la licence.

Tout commençait pourtant bien : cadre historique de la seconde guerre mondiale, dans le désert d’Afrique du Nord, au milieu des opérations de l’Afrika Korps et prêt à descendre du nazi. Malheureusement ce jeu m’a semblé être un gros mensonge. En effet, je m’attendais à un véritable jeu de sniper (logique vu le nom) ou le but serait d’éliminer le plus discrètement possible des cibles à 600 mètres de distance minimum. L’élimination de cible de manière discrète est effectivement au programme mais je trouve le côté “sniper” très mal exploité. Sur la dizaine de missions que j’ai dû effectuer, presque toutes pouvaient être réalisées sans fusil de précision, l’utilisation du fusil devenait même très handicapante finalement et l’utiliser n’était absolument pas intéressant pour le bon déroulement de la mission. Je m’explique : la quasi-totalité des cibles (humaines ou véhicule) pouvait être approchées au plus près à pied et éliminées/détruite à l’arme de poing silencieuse ou à l’explosif. Réussir sa mission au fusil de précision nécessite par contre de trouver un bon spot de tir sans se faire repérer, ensuite de tirer au même moment qu’un bruit extérieur se produit afin de couvrir la détonation (avion qui passe, moteur de véhicule qui se met en marche). Tout ceci semble être de bonnes idées et en adéquation parfaite avec l’idée qu’on peut se faire du tir de précision en temps de guerre. Mais dans le cas présent, pourquoi s’embêter à chercher un spot de tir (en hauteur avec vue dégagée sur la cible), à essayer de couvrir le son produit par son arme (parce que bien entendu au moindre tir de fusil non couvert par un bruit de l’environnement tous les gardes vous ont instantanément localisés) alors qu’il vous suffit de marcher accroupi dans l’ombre sur 100m et d’éliminer la cible d’une balle au pistolet silencieux ? Le jeu devient alors plus ou moins un jeu d’infiltration ou une sorte d’Hitman raté car le jeu n’ayant pas été pensé pour obliger le joueur à jouer l’infiltration et bien il en devient extrêmement facile même en augmentant beaucoup le degré de difficulté proposé dans les options du jeu (j'y ai joué en difficulté "Sniper Elite" qui est l'avant dernier niveau de difficulté mais les gardes mettent des plombes a vous repérer, deux-trois mauvaises herbes vous cachent mieux qu’une cape d’invisibilité…). Pour le côté fusil et tir de précision ça en devient juste risible d’utiliser son sniper pour un tir a 50m avec 80% de faire une bourde et de se faire repérer. Au final c’est au joueur lui-même de créer la difficulté et la dimension tir de précision en s’astreignant à utiliser toujours le fusil pour les missions (ce qui est totalement ridicule, les missions auraient dû être pensées pour devoir être faites au fusil et l’utilisation du pistolet en dernier recours pour une action au contact inopinée)
En ce qui concerne l’environnement et les ennemis, les gardes peuvent réagir très fortement s’ils entendent des bruits de pas un peu trop prononcés (si on court par exemple) par contre si on sabote un générateur électrique ou un petit moteur permettant de créer du bruit pour couvrir nos tirs de fusil alors là aucune réaction de leur part. Le type peut passer dix fois à coté d’un générateur en surchauffe qui fume et fait du bruit il s’en fout complètement… donc bon l’immersion voulue par le jeu est complètement cassée. C’est à peu près la même chose lorsqu’il s’agit des missions de sabotage : détruire quatre camion (OK) mais quand on les fait exploser aucun garde patrouillant dans le camp à côté ne réagit, en gros on traverse le camp en mode infiltration on arrive sur le parking des camions on fait péter tout ça à la dynamite et tout le monde s’en fout c’est terminé. Ou alors vous pouvez essayer de vous trouver un coin tranquille pour tirer au fusil sachant qu’il faudra couvrir le son des tirs, tirer uniquement dans le réservoir du camion ou le moteur (qu’il faut localiser) et tirer deux balles pour percer la carrosserie. De plus les canons anti-aériens qui sont codés par le jeu pour tirer toutes les 30 secondes (et ainsi proposer une fenêtre de tir au fusil) alors qu’il n’y a pas un seul avion dans le ciel c’est un peu ridicule et ça casse encore l’immersion. De même, quand ce n’est pas les canons, pour l’avion qui survole la zone en boucle.

Enfin on a accès dans son inventaire à tout un tas de fusil de sniper, mitraillette légère et armes de poings. Au final le fusil on n'arrive pas à voir vraiment quels sont les caractéristiques intéressantes de chacun donc on en prend un au pif, de toute façon les tirs n’excéderont pas 100m donc même une Winchester aurait suffi. La mitraillette légère, autant choisir la plus belle qui ira bien accrochée dans votre dos puisqu’on ne l’utilise jamais. Les pistolets, on prend celui avec un silencieux (seule vrai arme utile du jeu) et on termine le jeu avec.

Dernier reproche : la caméra de suivi de la balle et les rayons X alors, oui c’est visiblement LE grand truc de la licence mais bon franchement tu le vois 2-3 fois voilà c’est sympa mais après c’est juste très chiant, ça casse tout le rythme, à chaque tir tu y a le droit… bref heureusement on peut la désactiver dans les options du jeu.

En une phrase, Sniper Elite III c’est un peu comme : « comment se compliquer la vie en utilisant un fusil de précision alors qu’une arme de poing, un silencieux et 10 balles font l’affaire ». Il m’a fallut tout de même une dizaine d’heures pour vraiment me rendre compte que je n’aimais pas et qu’il y avait plein de truc que je ne trouvais pas cohérents, j’ai vraiment essayé de persévérer mais rien n’y a fait. J’ai donc dépassé les 2h de jeu fatidique de Steam qui m’empêche tout remboursement... dommage ! Je conseillerai tout de même ce jeu aux joueurs très novices où qui ne cherchent pas la difficulté ou l’immersion et qui se moque qu’un jeu soit vendu comme étant un jeu de sniper alors que pas du tout (à prendre en solde quand même). Pour tous les autres je déconseille fortement. Mais je serais heureux d’avoir des avis de personnes fans de la licence sur cet opus (ou sur la série en générale) qui me semble plutôt raté ou en tout cas à côté de ce qu’il visait (embêtant pour un jeu de tir de précision).
Posted February 14, 2018. Last edited February 14, 2018.
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682.6 hrs on record (260.5 hrs at review time)
Vous hésitez à vendre votre skin adoré pour acheter PUBG, se délaisser de votre magnifique AK-47, du Saint-Couteau... et bien faites comme moi vous ne serez pas déçus ! J'ai acheté PUBG durant la phase d'early access après avoir vendu quelques skins CS:GO et honnêtement ce jeu vous apportera bien plus de plaisir qu'un simple skin. Je ne vais pas m'étendre sur le principe du jeu, tout le monde connaît déjà trop bien le but d'un battle royale. Mais sachez que sur PUBG vous pourrez faire du saut en parachute, des courses de Jeep, des figures à moto ou en buggy, looter et bien sûr abattre vos ennemis un à un pour être le dernier homme debout et bouffer du poulet ! Et tout ceci se déroule dans un environnement très réaliste, les maps (2 pour le moment) sont très soignées et très bien pensées. Le panel d'armes utilisables associés aux nombreuses améliorations possible (lunettes de visée, poignée, silencieux...) est vraiment jouissif. Bref, n'hésitez plus et achetez le :D
Juste un petit bémol au niveau de la configuration requise, le jeu n'est pour l'instant pas adapté pour les petites configuration. Je conseil d'avoir minimum 8GB de RAM et une carte graphique de type Nvidia GEFORCE 960 ou mieux pour pouvoir profiter du jeu. Moi-même je possède 8GB de RAM et une GEFORCE 1050 et je joue avec la qualité globale du jeu en très faible afin d'avoir 80 FPS dans la cambrousse et 60 dans les villes.
Posted December 22, 2017. Last edited November 24, 2022.
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4.0 hrs on record
Hack'n Slash très sympathique, vif dans un style épuré et propre en noir et blanc. Les combats sont nerveux et joliment exécutés. Une musique entraînante mais assez répétitive. A prendre en soldes car la durée de vie est faible (2-3h seulement). Rejouabilité possible pour débloquer toutes les armes et améliorer sont temps de speedrun. Jouer à la manette me semble être la meilleure option pour apprécier le jeu.
Posted September 9, 2017.
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72.0 hrs on record (57.3 hrs at review time)
C’est après 110 heures passées sur l’édition Prepare to Die du numéro I et 60 heures sur Dark Souls II Scholar of the First Sin (ce qui correspond à la fin du premier « new game ») que je me décide à écrire une évaluation sur ce deuxième opus. Il me fallait en effet un bon temps de jeu sur au moins les deux premiers opus pour en apprécier l’évolution, relever des comparaisons et émettre d’éventuelles critiques afin de rédiger une évaluation. La série des Souls est en effet difficilement comparable à d’autres de jeux du fait de sa complexité : gameplay exigeant, diversité des niveaux, diversité d’objets (armement, sorts, utilitaires…), diversité des combats (PVE/PVP) et d’approche du jeu en lui-même.

Pour cette évaluation, le jeu étant tellement vaste et complet que je ne pourrais pas énumérer en détails toutes les « bonnes choses » qu’il contient. C’est pour cela que je m’attarderai sans doute plus sur ce que je n’ai pas apprécié ou ce qui m’a déçu et listerais simplement une partie des éléments les plus appréciables du jeu. Je commencerai donc par ce qui m’a déplu et finirais par le plus important : ce pourquoi le jeu est incontournable.

J’ai ainsi trouvé dans ce deuxième Dark Souls l’histoire bien plus compliqué et difficile à suivre pour le joueur que dans le premier. Certes, dans les Souls, le joueur doit se diriger lui-même et utiliser les bribes d’informations qu’il obtient au cours du jeu pour prévoir ses prochaines actions. Mais ici les informations divulguées par d’éventuels PNJ se font dans plus en plus rare au fil du jeu et, le monde étant totalement ouvert et possédant de nombreux choses cachés, il devient très difficile de savoir quoi faire sans utiliser internet (le Wiki[darksouls2-fr.wiki.fextralife.com] ou les fameux guides vidéo d’ExServ).
Un autre élément qui m’a déçu, et sans doute le plus important, concerne les combats contre les boss. Tout d’abord, les boss sont beaucoup moins charismatiques que dans le I, on est loin de Ornstein et Smough ou du Chevalier Artorias et de son loup Sif. En effet, plusieurs boss se retrouvent après les avoir combattu comme de simples « trash mobs » ce qui démontre bien leur caractère exceptionnels (ou pas :p). Les combats sont bien souvent soit anecdotiques soit « chiants ». Anecdotique car le boss peut être vaincu dès le premier essai et dans la foulé de la zone le précédant sans se reposer à un feu de camp. Chiant car à partir de la moitié du jeu beaucoup de boss sont calqué sur le même schéma à savoir : un sac de PV ou une résistance exagérée combiné avec un pattern d’attaques comprenant un combo qui one shot de manière inévitable et que le boss exécute de manière imprévisible au petit bonheur la chance pour le joueur. Dans ces combats, la notion de skill/expérience et d’apprentissage de ces défaites précédentes sont assez inutiles et la chance devient un facteur déterminant ce qui pour moi peut rendre le combat chiant et rageant (chose que je ne ressentais pas dans le premier). Pour ceux qui connaissent, ces boss font fortement penser au style que pouvait avoir Manus dans Dark Souls-Prepare to Die Edition, c’est-à-dire totalement imprévisible et rageant.
Le troisième élément que j’ai trouvé décevant est l’équilibrage entre les armes et les différents builds possible pour son personnage. En effet les « armes de forces » (armes nécessitant beaucoup de force pour les manier et possédant un bonus de dégâts lié à la force comme les espadons, haches, marteaux) sont trop privilégiées et donc favorise les builds force en PVE. Les dégâts infligés par les armes de force deviennent vite monstrueux et leur capacité à « stun » les adversaires voire même les boss augmente leur efficacité. Moi qui voulait effectuer une partie essentiellement basée sur la dextérité je me suis rapidement rendu compte que les armes dex sont assez peu intéressante en PVE. La dextérité étant vraiment utile seulement pour l’utilisation de l’arc. Par ailleurs il existe quelques rares zones où l’utilisation de la force uniquement accroit énormément la difficulté. Posséder des sorts rends la zone plus facile et posséder un arc avec 600 flèches vous rends invincible (sniper). A contrario, en PVP les armes dex deviennent très efficace surtout avec des amélioration ou buff de poison, saignement, foudre… L’utilisation de lourd bouclier est obsolète tout comme l’utilisation des énormes armes lentes qui faisait le café en PVE. En PVP les parades, roulades, brise-garde et backstab surpuissant sont monnaie courante. Cette différence flagrante entre PVE et PVP nécessite donc de repenser totalement son build selon ses attentes pour la partie à venir (partie axée PVE ou axée PVP).


Je vais maintenant m’attarder plus rapidement sur ce qui fait de ce jeu un incontournable pour tout fan de la série. Tout d’abord, on peut noter une énorme évolution au niveau des graphismes rendant les paysages et les niveaux d’autant plus magnifiques.
Une évolution des détails notamment sur les armures mais aussi des effets des tissus et étoffes qui bougent au grès des déplacements. Il y a toujours une très grande diversité d’armes et d’armures combinées à différents move set et effets.
Les combats sont toujours aussi prenants et bien réalisés. Terrasser un ennemi après une parade parfaitement exécutée est très jouissif tout comme surprendre un ennemi dans son dos et ne lui laisser aucune chance.
La faune et la flore des niveaux est bien différentes suivant la zone. Le type et l'aspect des ennemis est toujours bien travaillé et a été très bien renouvellé par rapport à DS I.
L’ambiance et la beauté des niveaux est toujours aussi bien travaillé (encore plus même), les boss sont très jolis et bien sûr certains d’entre eux marque les esprits (Chevalier Miroir, Velstadt).
Une nouveauté appréciable est l’apparition d’un nouvel objet, le Calice d’âmes, permettant de réinitialiser ses statistiques et de réattribuer ses points de niveaux sur d’autres stats (pratique si l’on se trompe, si on veut changer d’orientation de build ou si une fois l’histoire fini on décide de se spécialiser pour le PVP).
Enfin les mouvements et actions du personnages sont plus réalistes : temps de réactivité, temps pour utiliser un objet ou encore temps de « recovery » entre deux actions ou après avoir reçu un coup contondant.


Ainsi je recommande vivement ce jeu à tous ceux qui auront terminé et apprécié Dark Souls premier du nom. Mais j’émettrai une certaine réserve pour les joueurs voulant commencer les Dark Souls par celui-ci, mieux vaut se familiariser avec le gameplay et mécaniques de jeu sur le premier qui est je trouve plus progressif dans la difficulté et l’apprentissage du fonctionnement du jeu.
Posted August 3, 2017. Last edited May 1, 2018.
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104.5 hrs on record (38.3 hrs at review time)
Tout d’abord, j’adore ce jeu bien que je me fasse laminer une partie sur deux du fait de sa difficulté extrêmement poussée. En effet, Verdun est un FPS ultra réaliste et très immersif prenant place en pleine première guerre mondiale.
Plusieurs modes de jeux sont disponibles. Le mode de jeu Lignes de front (mode le plus joué) recrée les batailles classique de la Grande Guerre, vous chargerez les tranchées ennemies lors d'une action offensive afin de gagner du terrain, tandis que dans une autre, vous devrez peut-être défendre vos positions acquises récemment face à la contre-attaque ennemie.
Le mode match à mort est relativement explicite de par son nom et un grand classique des FPS. Dans le mode Défense d'escouade, vous pourrez avec trois autres membres de votre escouade défendre une zone du front aussi longtemps que possible face à des vagues d'attaquants contrôlés par l’IA.
Je n’ai encore jamais joué au mode de jeu usure je ne le détaillerai donc pas ici.

Ainsi dans Verdun vous êtes plongé dans des combats de tranchés aux côté des forces de l’Entente ou bien de l’Alliance des puissances centrales, à vous de choisir votre camps ! Dans chaque camp vous pourrez choisir votre nationalité et même votre type d’escouade : Poilus, Chasseurs Alpins, Corps expéditionnaire canadien, belges… Troupes de choc allemandes… Chacune de ses escouades possédant des capacités spécifiques et leurs armes propres.
Vous pourrez travailler en équipe avec vos amis afin de gagner de l'expérience et améliorer votre escouade. Vous récolterez de l’expérience en combattant et en effectuant des actions d’équipe avec votre escouade, cette expérience vous donne droit à des points de carrière qui permettent alors de déverrouiller des spécialisations, des armes et de l'équipement.

Pour en revenir aux combats et aux armes, tout ceci est extrêmement réaliste dans Verdun. Les uniformes sont fidèlement reproduits ainsi que les armes et leur comportement au combat. Les fusils automatique ne sont pas très répandu vous devrez donc combattre au tir coup par coup qui induit facilement un temps d’une seconde entre chaque tir. Pour effectuer des tirs lointains de précision vous devrez retenir votre respiration avant d’appuyer sur la gâchette afin de stabiliser votre tir. Il faudra également prendre en compte les lois de la balistique et tirer par exemple légèrement en avant d’un soldat ennemi qui cours ou légèrement en dessous selon votre position. Parmi les armes on retrouve également le lance-flamme allemand, le pistolet Luger ou encore les gaz de combats et le mortier. Combattre et viser avec un masque à gaz ou quand la terre tremble sous les tirs de mortier deviendra presque impossible. Enfin il n’y a aucun indicatif au-dessus des ennemis pour les indiquer, vous devrez vous fier à votre connaissance des uniformes (Ja ! Casque à pointe !) ou bien vous vous ferez tirer dessus comme un vulgaire lapin avant d’avoir pu réagir.

Bref ce jeu est top de mon point de vue, même si durant certaines partie vous mourrez 20 fois pour un seul ennemi abattu vous aurez juste envie de changer d’équipement et de prendre votre revanche lors de la prochaine partie et bouter les boches dehors.

Je conseille ce jeux au fans des FPS réalistes mais aussi à ceux qui aime l’histoire et se passionne pour les guerres qui ont façonnées celle-ci.
Vous vous croyez excellent à Counter-Strike, meilleur sniper sur Insurgency, tout votre skill sera remis en question sur Verdun !
Posted November 27, 2016. Last edited November 27, 2016.
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8 people found this review helpful
790.6 hrs on record (774.3 hrs at review time)
Mount and Blade : Warband est un très très bon jeu RPG, stratégie, TPS et multi-joueurs. En effet le jeu offre une carrière solo très bien remplie et des possibilités en multi-joueurs quasi-inépuisable.
Pour ce qui est de la partie solo on commence tout d’abord par créer son personnage (sexe, visage, corpulence, nom…) et on lui attribue les points de capacités allouer au début du jeu. Il est également possible de choisir les antécédents de son personnage (écuyer, braconnier, marchand…) avant de commencé à jouer. Vous êtes ensuite catapulté sur une terre, Calradia, déchirée par de nombreuses guerres entre les différents royaumes qui la compose (6 au total). Chacun de ces royaumes possède des villes et des châteaux ainsi que des unités propres à leur civilisation (archer montées, arbalétriers lourds ou encore Huskarl nordique). Donc quand vous commencez la partie vous êtes seul dans une capitale d’un de ses royaumes et là vous décidez totalement de ce que vous souhaitez faire : explorer les royaumes, aider des paysans, exécuter le sale boulot de certains seigneurs ou botter les fesses de brigands et pillards en tout genre (qui sont d’ailleurs très nombreux sur la carte). Mais attention il ne s’agit pas au début de foncer dans le tas en brandissant votre épée rouillé car vous êtes nul et même avec des heures de jeu vous serez toujours nul au début car le jeu fait tout pour cela (vous êtes lent, faible, pauvre, mauvais archer et un cavalier risible). Il vous faut donc réaliser des quêtes et tuer des ennemis (petit peu par petit peu) pour obtenir de l’expérience et grimper en niveau et ainsi améliorer vos compétences combats, marchandages, persuasion…Ces quêtes permettront également d’obtenir des pièces d’or qui pourront vous servir à acheter de meilleurs armes, armures, chevaux dans les villes ou encore marchander des denrées préçieuses et acheter de la nourriture pour vous et votre groupe. Car bien entendu vous ne pourrez pas réaliser ces quêtes tout seul, en effet vous pourrez recruter des mercenaires, des paysans (qui en deviendront plus fort au fur et à mesure) et des compagnon que vous pourrez améliorer comme votre personnage principal.
Une fois votre réputation faite vous pourrez décider de rejoindre une faction et vous serez alors placé directement sous les ordres du roi et du maréchal de la faction. Là encore il est possible de grimper les échelons et de simple mercenaire de guerre vous pourrez devenir seigneur puis maréchal de la faction et posséder des terres, châteaux et villes qui vous rapporterons de l’argent à vous et à votre faction.
Si vous ressentez un certain agacement à suivre sans cesse les directives d’un mauvais roi, il est possible de le trahir et de rejoindre une autre faction ou bien encore de vous déclarer totalement indépendant et de fonder votre propre faction (à condition de réussir à prendre des châteaux ou ville et donc à lever une armée relativement importante).
Les déplacements sur la carte se font un peu à la manière des Total War, la carte est vue du dessus avec les villes, les châteaux et les reliefs et les armées sont représentés par leur général. Les batailles ou sièges sont, par contre, en total immersion. En effet vous jouez votre personnage à la troisième ou première personne et pouvez combattre au milieu de vos hommes tout en leur donnant des ordres (ce qui est d’ailleurs assez complexe mais réaliste car au cœur de la mêlée il est impossible d’avoir une vue d’ensemble sur ce qui se passe). Il existe un bon nombre d’armes différentes permettant de trucider vos ennemis comme bons vous semble mais aussi beaucoup d’armure afin de vous protéger tout en restant esthétique.
En mode solo il existe de très nombreux mods (gratuits) permettant de varier les plaisirs (Game of Thrones, Lord of the Rings mais aussi des mods réalistes reprenant la carte monde médiéval européen…). Ces mods permettent de rallonger significativement la durée de vie du jeu.

Passons maintenant au côté du jeu que j’ai trouvé comme étant le plus jouissif : le multijoueur. Après avoir passé de bonnes dizaines d’heure sur le solo on se décide à tester le multi-joueurs. Là vous pourrez à nouveau créer votre personnage et lui attribuer une bannière afin de vous démarquer des autres joueurs ou d’utiliser la bannière de vos alliés. Vous pouvez alors vous lancer dans des batailles multijoueurs avec un maximum de 64 joueurs. Les modes multijoueurs disponibles sont : Deathmatch, Team Deathmatch, Capture the Flag, Conquest, Battle, et Siege. Et là place au skill ! En effet en solo, après avoir gagner plusieurs niveaux et augmenter vos compétences de combat les soldats contrôlés par l’IA devenaient assez rapidement facile à combattre en duel et seul leur nombre faisait leur force face à vous (oui affronter 60 soldats ennemis en même temps et seul ça arrive) et la commande de parade automatique aidait beaucoup. Mais en multi-joueurs plus de parade automatique, c’est à vous d’anticiper les attaques de votre adversaire en fonction de sa position et de parer de la bonne manière afin d’éviter un coup bien souvent fatal. L’utilisation d’un bouclier peut s’avérer alors très utile mais de nombreux joueurs connaissent les technique de feintes pour vous forcer à baisser votre bouclier et exposer votre torse, ou encore la technique du coup de pied dans les tibias qui permet de déstabiliser un combattant et de le frapper à mort. De longue heure de rage en match à mort vous attendent mais une fois que vous commencerez à comprendre comment se défaire d’un adversaire vous ne pourrez plus vous arrêter de vouloir combattre. Le mode bataille permet à deux équipes de combattre l’une contre l’autre avec mort permanente durant la bataille pour chaque joueur. Le mode siège est également très apprécié car il demande beaucoup de tactique et de stratégie en équipe pour s’emparer ou défendre la place forte (jouer avec quelques amis et souvent pratique afin de faire des attaque coordonnées).
Enfin il existe également des DLC multi-joueurs (payant) et notamment un DLC qui vous plonge dans les batailles napoléoniennes et vous promet à nouveau de longues heures de jeu.

J’ai sans doute oublié de nombreuses choses sur le jeu car il y a tellement à dire dessus mais je le recommande très fortement. J’y ai joué près de 800h et m’en suis un peu détaché pour chercher d’autres expériences vidéo-ludiques. Mais j'y retourne de temps en temps en multijoueurs et la communauté est toujours présentes, je trouve toujours des serveurs avec assez de monde pour s'amuser.
Posted July 2, 2016. Last edited June 25, 2018.
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