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3.2 hrs on record
La montagne ça vous gagne !

Crystal Dynamics le développeur historique de la franchise joue ici la sécurité et ne perturbera pas les joueurs du précèdent opus. Que cela soit au niveau du gameplay ou se son histoire Rise of the Tomb Raider ne propose pas d’idée originales on trouve ce sentiment de déjà-vu et déjà vécu dans des dizaines d’autres titres et films d’aventure.

Mais alors qu’est-ce qui rend Rise of the Tomb Raider attirant et incontournable pour tous les fans du genre me direz-vous ? La réponse est simple le titre vous permet de découvrir, d’explorer, de crafter, chasser ou combattre tout cela en même temps et dans des niveaux d’une superficie honnête et varier.

Côté histoire le jeu se situer quelques temps après les évènements qui ont eu lieu au Yamatai. Lara se retrouve une nouvelle embarquer dans une aventure périlleuse ou elle sera confronter à la Trinité une organisation criminelle et en même temps elle essaiera d’en savoir plus sur la disparition de paternelle. Ainsi commence un long périple qui la conduira à visiter la Syrie (tiens c’est d’actualité) et les montagnes glacées de la Sibérie à la recherche de la source divine.

Si jamais vous avez déjà joué au précèdent volet qui se veut comme un reboot de la série alors vous ne serez pas dépayser par le gameplay quasi identique, celui-ci est relativement bien équilibré et solide. L’Artisanat s’est affinée nous pouvons créer des Explosifs, des cocktails Molotov, Medkit, grâce aux différentes ressources collectable sur notre chemin. L’arc sera toujours une arme centrale et discrète et nous pourrons créer plusieurs types de flèche inflammable ou toxique.

Miss Croft pourra aussi profiter de tout un arsenal pistolet (toujours impossible d’en avoir deux), fusil, arme d’assaut etc… Tout cela améliorable avec les points de compétences obtenu par la monter en niveaux de notre héroïne. Certaines armes sont plus retord à obtenir car dissimuler dans les coffres aux trésors habillement cacher sur les maps.

Tout comme dans le premier Tomb Raider il vous faudra passer par un feu de camp pour utiliser vos points de compétences durement gagner. Les feux de camps vous permettront aussi une fois débloqué ce qui en difficulté plus élevée vous demandera des ressources de vous téléporter d’un feu à l’autre.L’instinct de survie sera toujours de la partie ce que mettras en évidence les points d’intérêt ainsi que les caisses de munitions, les matériaux et les plantes à conditions de débloquer la compétence. Malgré tout cela reste partageras les joueurs entre ceux qui trouvent cela utiles et ceux qui s’en passeront volontiers.

La Chasse joue un rôle un peu plus important forçant notre belle Lara à s’aventure dans le terrier de Loups ou de redoutable Ours et ainsi récupérer les cuirs des animaux, utile à la fabrication de sac de munition de plus grand carquois. Attention aussi aux Tigres qui rodent et attendent notre aventurier au détour d’un sentier prêt à nous lacerez.

Rise of the Tomb Raider apporter quand même quelques nouveauté bienvenu, telles que les missions secondaires pour aider des gens dans le besoin et qui seront pas sans d’appréciable contrepartie. Ces petites missions nous sortirons souvent des sentiers battus et nous pourront trouver des lieux ou objets de collection particulièrement difficile à détecter. Il y a aussi quelques défis optionnels à réaliser comme ramener un certain nombre de poules dans leur enclos, détruit des drapeaux ou cible disséminé sur notre terrain de jeu. Et si tout cela ne vous suffit vous pourrez aussi apprendre trois langues différentes en déchiffrant les manuscrits, totems et autres reliques, utile pour afficher les objets de collection qui deviendront visible sur la map.

Les joueurs du précèdent opus l’avaient demandé, Crystal Dynamics l’a fait une multitude de tombeaux sont à trouver mais aussi à explorer dans Rise of the Tomb Raider, remplis de trésors, de secrets et surtout d’énigmes plus ou moins retord à résoudre. Certains puzzles sont diaboliquement convaincants et demanderont une bonne quantité de matière grise, mais vois effort seront récompensés si vous y parvenez avec des compétences unique comme la possible de tirer plusieurs flèches avec votre arc.

Côté technique Rise of the Tomb Raider s’en sort admirablement, pas de ralentissement notable du début à la fin. Admirez Lara grimper les montagnes de Sibérie est un régal pour la rétine, en particulier grâce à d’excellent effet de lumière et des animations fluides, bien sûr nous manqueront de mentionner aussi un mouvement naturel des cheveux très crédible. Même le doublage français de la comédienne Alice David reste très convaincant et Crystal Dynamics nous offrent quand même la possibilité d’utilise la version anglaise des voix très bien retranscrit par l’actrice Camilla Luddington.

Comptez une bonne 15 heures pour venir à bout de l’aventure en prenant votre temps ce qui n’est pas mal pour ce nouveau volet. A cela s’ajoute les quelques heures supplémentaire pour collecté, explorer et résoudre toutes les énigmes.

Rise of the Tomb Raider est un grand jeu certes, il reste fidèle à ses origines et il est plus que satisfaisant. Mais, avec un peu plus d’effort les développeurs pourraient en faire un chef-d’œuvre. Le jeu devrait débarquer rapidement sur PC et en fin d’année prochaine sur la console de Sony.

https://youtu.be/MUPaNvYzgrw
Posted July 11, 2020.
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2.1 hrs on record
Un fruit du démon difficile à avaler ?

Chaque fois que je pense à One Piece, il est inévitable de ne pas être fasciné par la longueur de la saga tout en maintenant son niveau de qualité. Eiichiro Oda, l’infatigable auteur de la série, à conçu au fil du temps un univers immense et très varié, composé d’une dizaine de sous-ensembles ayant chacun leur propre inspiration.

Même dans le monde des jeux vidéo, nous avons eu beaucoup d’occasions de jouer le rôle de Luffy et de ses compagnons, mais souvent avec des résultats médiocres. One Piece World Seeker est l’épisode le plus récent et tente d’offrir aux joueurs un mécanisme de gameplay parfaitement adapté à un monde ouvert. Mais qu’en est-il vraiment ?

Nous voici donc plonger dans une nouvelle aventure inédite sur une île, puisque celle-ci n’apparait pas dans le manga. Notre héros échoue sur cette nouvelle terre après être tombé de la Prison du Ciel suite à son combat contre un certain Isaac le méchant de l’histoire. On découvre très tôt qu’il nous appartiendra de mener la révolte contre Isaac en aidant la belle Jeanne, un nouveau personnage.

Le design et la réalisation des personnages est un délice pour les yeux en même temps c’est normal puisqu’ils ont été supervisés par la mangaka en personne. Même les nouveaux personnages suivent les caractéristiques typiques de One Piece.

La première tâche de notre sera de retrouver les membres de son équipage éparpiller sur l’île. La structure de World Seeker ne laisse malheureusement pas de place à l’improvisation lors des interactions que cela soit dans les missions principales ou secondaires, la seule chose importante à faire sera quelques combats en plus d’errer dans les rues pour parler à certains PNJ. Là où la série des Pirates Warriors avaient misé sur le massacre à outrance et un côté nerveux, les développeurs de One Piece World Seeker ont ici réduit le tout à une mécanique de gameplay des plus simple.

Luffy peut combattre de deux manières différentes : la première favorise la défense et l’autre l’offensive, mais nous sommes très loin d’un système de combat approprié. De plus, il est possible de prendre les ennemis à revers dans une pseudo furtivité pas toujours très adapté. Sans oublié le fait que les snipers ennemis vous localiseront de très très voir trop loin.

Il est probable que les développeurs ont choisi une mécanique de combat simplifié pour assurer une plus grande accessibilité à un jeune public. Le but du jeu est essentiellement de devenir de plus en plus puissant pour vaincre des ennemis de niveau supérieur, en utilisant les ressources que nous trouvons sur l’île ou dans des missions secondaires, pour ainsi obtenir un équipement plus puissant et de développer l’arbre de compétences de Luffy.

One Piece World Seeker montre un univers cohérent, grâce à l’utilisation d’un Cell Shading bien reproduit et des animations qui le sont tout autant ce qui rappel la série animée. Bon certes les personnages principaux ont bénéficié d’une attention plus accrue que le reste.

Le titre pourrait constituer un bon chapitre pour les fans de la saga qui souhaitent vivre une nouvelle aventure au côté Monkey D. Luffy. Cependant, en tant que jeu vidéo, One Piece World Seeker à un gameplay et une structure trop simple pour être aussi divertissant que l’on pourrait s’y attendre, offrant aux joueurs un défi peu élevé et une répétitivité excessive. Cela ne signifie pas que les fans de la série ou les joueurs occasionnels n’y trouverons point de plaisirs, mais il ne faut pas s’attendre à des batailles épiques ni des révélations extraordinaires.
Posted July 11, 2020.
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2.9 hrs on record (2.0 hrs at review time)
Depuis le premier Demon’s Souls le genre « Soulslike » s’est durablement installer dans le cœur des joueurs en devenant un synonyme de frustration au plus haut niveau. Ce type de jeu basé sur le combat à l’arme blanche et la magie dans un premier temps se voie maintenant dotée de quelques titres intégrant des armes à feu avec un concept de TPS. Voici donc Remnant : From the Ashes. Le jeu, crée par Gunfire Games, connu par le passé pour Darksiders 2 et 3.

Après une sommaire création de notre personnage et peu de temps après le début du tutoriel, on nous demande de choisir l’une des 3 spécialisations entre Chasseur, Ex-Cultiste et Baroudeur ; ce dernier est un dérivé des Souls originaux, mais aussi le plus difficile à manier. Sa spécialité étant le combat en mêlée, dans laquelle il excelle en dégâts et en capacité à toucher plusieurs adversaires à la fois. L’Ex-Cultiste et le Chasseur quant à eux sont des combattants à distance. Bien que les trois classes soient équipé d’une configuration similaire en ce qui concerne les armes. Ce sont les caractéristiques de chaque classe qui les rendent uniques.

Remnant : From the Ashes reste un jeu conçu pour se battre avec des armes à distance et cela se ressent clairement dans sont level design, qui s’inspire fortement des Darks Souls dans son cheminement. Dans sa grande majorité nous avons à faire à des hubs remplis de chair à canon et de mini boss plus ou moins exigeants. Le jeu début dans le Ward13 une base souterraine où peu d’humains survivent à des créatures maléfiques apparus sur Terre quelques décennies plus tôt. Des zones humaines sont disséminées sur la carte du monde relié par un système de portails et de téléporteurs. Dans chacune d’entre elles on trouve des instances qui se terminent inévitablement par un mini boss ou un boss de haut niveau.

Une des particularités de Remnant se situe dans les petites instances que l’on rencontre tout au long de l’aventure et qui sont générés de manière procédurale. Le gameplay n’invente rien de nouveau mais le mélange entre soulslike et la mécanique des tirs vu dans des dizaines d’autres jeux fonctionne bien pour diverses raisons. Le premier est celui de la difficulté, qui met de la bonne tension entre les mains du joueurs, une petite erreur et c’est la mort, voir celle du groupe entier. Le niveau normal est extrêmement exigeant mais pas insurmontable, surtout si vous avez la prévoyance de toujours mettre à niveau votre équipements avant les affrontements majeurs. La qualité des ennemis, comme on peut facilement le deviner, est à la base du plaisir et nous pouvons dire qu’en ce sens, Gunfire Games à fait un excellent travail dans la conception des boss et de toute la faune qui les accompagne. D’un point de vue graphique, le travail effectué sur les dimensions, les animations et les effets sont très bon parfois même cela se révèlent excellent. Les mécaniques d’attaque et de défense demanderont aux joueurs de toujours changer leurs approches car presque tous les boss sont capables de frapper à distance. En bref, les combats peuvent durée plusieurs minutes insoutenables menant souvent à une létalité brutale.

Il y a quelques défauts mais rien de particulièrement écrasant. Certes l’intrigue est dans l’ensemble risible, le recyclage des instances procédurale un peu gênant, même si les changements d’environnements sont heureusement fréquents. On remarque encore quelques bugs par ci par là sur certain affrontement de boss, mais ils sont rares et ne gâche pas le plaisir de jeu. Donc, si vous recherchez un titre exigeant et que vous êtes un fan de soulslike, Remnant : From the Ashes est un achat plus que recommandé pour les amateurs du genre.
Posted July 11, 2020. Last edited July 11, 2020.
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3.9 hrs on record (1.8 hrs at review time)
Il y a quelques années nous vous aurions sans doute dit que nous n’y croyons plus, les fans de Final Fantasy aussi avaient perdu espoir de découvrir les aventures du prince Noctis, mais Square Enix a continué à travailler sur le projet, le modifier, changer de nom, repartir de zéro. Les développeurs ont donné corps et âme afin que la série retrouve sa juste place, qui est au sommet des JRPG.

Final Fantasy XV est un voyage épique à travers un monde vaste et merveilleux remplie de mythes, de légende et de secret. Ce qui commence comme un pique-nique ordinaire entre amis se transforme vite en pèlerinage ou notre Noctis doit partir à la recherche de son trône dérobé. Etant pourtant un garçon paresseux celui-ci se retrouve bien entourer par son conseiller, un garde du corps et bien sur son ami d’enfance.

Le thème du voyage a été développé à la perfection, dans Final Fantasy XV. Nous allons de découverte en découverte de lieux en lieux surprenant. Square Enix a su donné à son équipe de développement assez de liberté pour qu’elle puise exploiter avec passion les différents que comporte le monde ouvert qui nous est proposé.Chaque coin du monde de Final Fantasy XV a été réalisé avec soin. Chaque Ville, chaque station-service ou bien zone dangereuse, tous les coins de la map dégage une ambiance qu’aucun monde générée de manière procédurale ne sera jamais en mesure de nous apporter.

Si vous avez déjà vu l’une des bandes annonces du jeu, vous saurez surement que la plupart des déplacements de notre petite troupe se déroule à bord de la Regalia véhicule de grand standing appartement au Roi et père de Noctis. Dans les premières heures de jeu vous serez amené à beaucoup l’utiliser ou simplement à explorer les environs à pied. Au fil de votre périple celle-ci pourra être amélioré pour aller plus vite ou bien même voler.

Final Fantasy XV comporte un système de jour et de nuit et oui si vous vous posez la question voyager de nuit même à bord de la Regalia peut être dangereux. En effet à la tombée de la nuit des créatures sortent du sol et peuvent être un calvaire à combattre sans y être préparé.

Fini l’époque des combats au tour par tour, place à un système de combat qui peut s’adapter à vos besoins. Le mode Actif, l’action se déroule sans interruption et oblige le joueur à prendre une décision rapidement voir à la hâte. Il devient essentiel de pouvoir compter sur l’aide de ses coéquipiers et perfectionner leurs compétences défensives, de sorte à comprendre les faiblesses de votre ennemi et comment le vaincre. Il existe aussi un second mode plus facile d’accès et qui laisse plus de place à la réflexion, il suffit de ne pas toucher la manette lorsqu’un combat s’enclenche pour que la situation se fige. Ce qui nous permet de mieux analysée la situation.

Si le système de combat nous a convaincu sur tous les points. De même que celle de la gestion des sorts et invocations. Nous avons quand même des soucis avec la trame de l’histoire, en effet Final Fantasy XV comporte quinze chapitres pour boucler l’aventure et dès notre arrivée à Altissia le jeu s’accélère grandement, mais vraiment trop rapidement et les événements s’enchainent avec une cohésion qui nous laisse perplexe.

Nous y voyons comme un sentiment d’une aventure inachevée ou les développeurs se sont hâté trop rapidement pour contenter les fans et passer à autre choses. Compter une 50 heures pour venir à bout de l’aventure principale et le double pour finir le jeu à 100%. Sachez aussi que le titre comporte quelques secrets bien gardés et donjon qui vous donnerons du fils à retorde avec les Dédales par exemple.

Nous remercions aussi Square Enix d’avoir fait l’effort de nous proposer le jeu dans une version française d’excellente qualité. L’immersion est excellent et du plus belle effet même avec les blagues de Prompto. Le jeu se veut quand même très bon. En Conclusion la mécanique du jeu, les personnages, le doublage, les décors, vous transporteront à coup sûr dans un voyage épique. Malgré un scénario sur la fin confus et une attente un peu trop longue, ce Final Fantasy XV sera plaire aux fans et aux nouveaux venus.
Posted April 1, 2019.
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0.2 hrs on record
Avis sur la version complète du titre.

Dissidia Final Fantasy NT une version née dans les salles d’arcade japonaises et qui arrive maintenant sur current-gen en ouvrant la voie à des batailles 3 vs 3 et en se concentrant sur des affrontements en ligne via un système de combat beaucoup plus profond que ce que la saga nous avez offert jusqu’à présent.

Premier chose il y a beaucoup de fan service dans Dissidia Final Fantasy NT, saga parallèle qui a toujours essayé d’apporter son lot de personnages pour nous donner l’occasion de combattre avec nos héros favoris. On peut dire qu’il s’agit d’un « Smash bros like » propulsé par l’une des franchises les plus importants dans le monde du jeu vidéo « Final Fantasy ». La version NT est arrivée dans les salles d’arcade avec un système original de 3 vs 3 qui a été couronnée de succès et aujourd’hui le voilà qui débarque sur Playstation 4 dans une version remaniée et adaptée pour la manette et un multijoueur en ligne.

Faire un comparatif avec la version d’arcade n’aurez aucun sens, il vaut mieux se plonger dans l’univers de Dissidia sans conditionnement particulier et ainsi répondre à l’appel de Materia et Spiritus, les représentants des deux divinités (Cosmos et Chaos) qui n’ont pas encore fini de combattre et qui rappel une fois de plus les combattants des différents de Final Fantasy pour commencer une nouvelle guerre contre l’éternel rengaine du bien contre le mal. Ceux-ci conserve d’ailleurs les souvenirs des précédents Dissidia ce qui peux dérouter ceux n’ayant jamais joué aux volets sur PSP.

Bien que nous parlions d’un titre profondément modifié, l’héritage de la version arcade ressort comme une évidence dans Dissidia Final Fantasy NT. En fait, l’objectif de de toute la production reste l’affrontement entre les joueurs ce qui laisse peu de place au reste comme le mode histoire. A l’exception de quelques combats, la campagne qui met en scène Materia et Spiritus n’est qu’une histoire à regarder, et cela n’est même pas amusant à faire. Cependant certains combats deviennent quand même épiques comme celui contre les invocations elle-même qui demanderont une certaine dextérité pour en venir à bout. A contrario les histoires derrière les épisodes PSP étaient un peu mieux fini.

Donc en dehors du mode histoire, nous avons un mode en ligne et hors ligne. Le défi de ce dernier repose sur un mode arcade typique des combats japonais, où vous choisissez un personnage et deux autres camarades contrôlés par l’IA. Sans suit une série de combat 6 au totale avec des combats bonus similaire à un mode survie plus vous gagnez plus vous aurez de récompense comme des « Memoriae » pour débloquer les nœuds de l’histoire mais aussi des trésors pour essayer de débloquer des armes ou tenues alternatives pour les différents personnages, bon la plus part du temps se sera des phrases de combats, musiques ou bien des avatars pour personnaliser votre profil, cela bien sur sans dépenser un centime.

Il faudra du temps beaucoup de temps pour s’habituer aux rythmes de Dissidia et comprendre comment extraire le meilleur de chaque attaque et de chaque défense. Tout d’abord, vous devez apprendre à utiliser les attaques PV (point de vie) et les attaques de Bravoure. Ces derniers n’aiment pas les adversaires mais ils diminuent leurs pouvoirs d’attaque en augmentant le nôtre, ce qui nous force à adapter constamment notre stratégie durant la bataille. Et ainsi une fois le nombre de point d’attaque conséquent et aussi d’avoir rendu faible notre adversaire pour déclencher une attaque PV, ce qui consumera l’intégralité des points d’attaque.

La coordination avec les équipiers sera aussi un facteur décisif lors d’affrontement en ligne, malgré un système de discussion limitée par des choix de phrase prédéfini ce qui n’est pas évident de trouver quoi leurs dire dans le feu de l’action. Bien sûr il ne faudra pas compter sur l’IA qui ne peut évidemment pas donner de conseil, ou que nous ne pouvons pas les informer de nos intentions.

Chaque personnage a sa propre classe et sa propre capacité d’attaque. La classe d’assaut par exemple se caractérise par des attaques frontales, tandis que les tireurs ne sont efficaces qu’à distance en lançant des sorts. Les mouvements possibles sont nombreux et beaucoup de plaisir réside dans l’apprentissage de la meilleure alchimie dans leur utilisation.

On note aussi les batailles de Quartz qui est l’une des nouveautés ajoutées à la version NT, ce qui change l’objectif de la bataille, au lieu d’infliger trois KO à ses adversaires, il faudra détruire leur Crystal en essayant de défendre le nôtre. L’espace de combat est donc concentré dans une gamme plus étroite et la fréquence ainsi que la vitesse de collision augmentent, ajoutant un second souffle au jeu. Cependant, ce mode ne suffit pas à rafraichir le gameplay qui reste pratiquement le même.

Dissidia Final Fantasy NT possède un moteur tout à fait honorable avec un impact visuel sur les arènes de combat agréable à l’œil malgré que certaines soit vraiment trop petite. Les Personnages sont fidèles est reconnaissable au premier coup d’œil et c’est surtout dans le secteur de l’audio avec de nouvelle musique aux sonorités orchestrales que le jeu transforme chaque affrontement en moment épique et ceux grâce au travail de Nobuo Uematsu et son équipe.

Quelques défauts entachent le jeu comme une caméra avec un mouvement encombrant et une interface invasive, ce qui nous expose trop facilement aux attaques de l’arrière. Les nombreux effets visuelle des attaques dans un combat rapproche peuvent dérouter le joueur.

Conclusion

Avec un choix de combattants allant de l’épisode un jusqu’au dernier en date à savoir Final Fantasy XV, Dissidia Final Fantasy NT possède assez de personnage pour y trouver son favoris, mais cela c’est sans compter sur le season pass et l’ajout prochain de nouveaux personnages. On ressent une certaine faiblesse dans l’ajustement de l’équilibrage. Les affrontements en 3 vs 3 ne seront du gout de tout le monde, mais entre amis le jeu à un très bon potentielle.
Posted April 1, 2019.
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0.7 hrs on record
N'est pas SuperHeros qui veut !

Le titre de NetherRealm se refait une beauté dans une Ultimate Edition comprenant 6 personnages supplémentaires, 47 costumes alternatif et 60 nouvelles missions S.T.A.R. Labs.

NetherRealm créateur de Mortal Kombat avait déjà fait une incursion dans l’univers de DC Comics, mais maintenant ils nous offrent un jeu 100% basé sur le combat opposant la ligue des justiciers versus les supers vilains. Mais, le scénario nous réserve de belles surprises.


L’un des points fort des jeux NetherRealm est de nous lancer dans un mode histoire qui nous ouvrira la voie d’essayer chaque personnes et ceci en dissimulant les temps de chargement derrière les cinématiques de l’histoire.

Parlons un peu du scénario l’action prend place à Metropolis qui viens de subira une attaque nucléaire, plus de 8 millions de personnes meurent suite à cette attaque dévastatrice. Le coupable n’est autre que l’un des plus farouches super vilains de l’univers DC le Joker, retenu pour interrogation par notre justicier de la nuit Batman, mais tout à coup c’est Superman qui fait son apparition en explosant le mur de la pièce. Venu réclamer vengeance de la mort insoutenable de femme Loïs ainsi que de son fils. Sous la colère il commit l’irréparable et tua le Joker.

Pendant ce temps dans un univers alternatif la Ligue des Justiciers essaie de contrer un plan savamment mis en place par Lex Luthor. Batman, découvre avec stupeur que ce dernier a remis une tête nucléaire entre les mains du Joker. Le temps leur est maintenant compté pour empêcher l’explosion. C’est à ce moment qu’un éclair aveuglant englobe les héros et vilains pour les envoyer dans un Metropolis qui leur est totalement inconnu et où règne Superman en maître du monde prêt à tuer quiconque ne respectant pas ses règles.

Voici ce que nous propose les premières minutes du scénario, qui est assez bien ficelé pour ne pas dénaturer l’univers de DC Comics, avec quand même une certitude à la fin les gentils gagnent, quoique !

Le combat repose sur des actions et combos simples, faciles d’apprentissage, mais prendra une tournure stratégique pour gérer les dits combos avec un timing parfait pour ne pas laisser son adversaire prendre le dessus. Chaque personnages possède un coup spécial qui montrera tout leurs potentiel à travers une cut-scene toujours plus spectaculaire, mais attention il faudra réussir à le placé, pour certains personnage cela demande un peu plus de pratique que d’autres. Un atout est aussi disponible pour chaque protagoniste par exemple Batman pourra lancer 3 Batarang ou Doomsday pourra limiter les dégâts reçus avec armure pour un court instant.

Cette édition comprend une trentaine de personnages répartis dans la parité 15 héros et 15 vilains ce qui inclus donc les 6 nouveaux personnages issue des DLC paru sur PS3 et Xbox 360. Vous pourrais aussi choisir parmi une multitude de costumes alternatifs, mention spéciale pour celui de Superman venant de Red Son avec non pas le fameux S mais les emblèmes de l’ex URSS (faucille et marteau). Ce qui est étonnant c’est de voir débarquer Scorpion tiré tout droit de Mortal Kombat un joli petit clin d’œil des développeurs. Les styles des combattants sont vraiment différents est assez bien calibré car, il faut dire que certains peuvent voler, utiliser des armes cependant, NetherRealm a fait là un excellent travail. Point fort aussi pour les arènes de jeu qui pourront vous sauver la vie avec des éléments de décor utilisables contre votre adversaire ou devenir votre pire cauchemar si l’adversaire s’en sert contre vous. Il est aussi possible de faire sortir l’adversaire de l’écran vers une nouvelle zone de l’arène de combat ce qui lancera une petite animation des plus sympathiques.

Le mode multi-joueurs vous accaparera quelques temps histoire de débloquer un maximum d’éléments pour modifier une gamer card (icone, fond, mention, etc). Il y aura aussi des événements quotidien et hebdomadaire pour monter un peu plus vite en niveau qui n’apporte pas grand chose à part plus d’exp. Une fois le mode histoire terminé vous serez minimum level 30. Après quelques combats on se rend vite compte que certains sont quasiment imbattables et sans compter les déconnexions et autres latences pendant les combats.

Si vous en voulez plus avec les Missions S.T.A.R. Labs vous serez servi cela commence doucement par quelques défis simples voir même facile jusqu’a difficile, que vous recommencerez un sacré nombre de fois. L’Ultimate Edition comporte 300 missions, chacune d’elle se compose de 3 objectifs qui vous permettra de remporter, un, deux ou trois étoiles. Cela vous occupera un bon moment pour au-final récolter les 900 étoiles disponible. Les missions sont un bon moyen d’apprendre les subtilités de chaque personnages.

Ce que l’on aime :
  • Les 30 personnages
  • L’histoire
  • L’interaction des décors
  • Les Missions S.T.A.R. Labs
Ce que l’on aime moins :
  • Les graphismes
  • La rigidité des animations (pâte de NetherRealm)
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Posted March 8, 2019.
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1.1 hrs on record (0.6 hrs at review time)
La fin du chevalier noir ?

Les jeux de super héros sont légion, mais les très bons jeux de super héros ne le sont pas malheureusement. Depuis quelques années l’excellent studio Rocksteady travaille avec Warner Bros pour nous sortir une trilogie de jeux sur le plus grand détective du monde et le prédateur de la nuit Batman. La série des jeux Batman Arkham ont su redonner un souffle de vie à ce héros sans commune mesure et même les dessinateurs des comics piquent des éléments utilisées dans les jeux tellement ils riches et dynamiques dans leurs façon de décrire les aventures de Batman.

Rocksteady nous dévoile donc son grand final avec ce volet nommé Batman Arkham Knight. Certains d’entre vous auront remarqué que nous n’évoquons pas Batman Arkham Origins puisqu’il ne fait pas partie intégrante de la trilogie initiée par Rocksteady mais celui-ci est un jeu développé par Warner Bros Games Montréal. Ce qui n’en retire rien à son charme est d’ailleurs il fut aussi apprécié puisque certaines idées utilisées dans cet opus ont été réutilisées dans Batman Arkham Knight.

Après avoir renversée la situation lors du siège d’Arkham City et défait le Joker, notre héros à bien mérité un peu de repos, mais cela était sans compter sur l’attaque d’un super vilain déjà affronté dans le premier Batman Arkham Asylum l’épouvantail en utilisant une nouvelle fois son gaz hallucinogène forçant une grande partie de la population à fuir Gotham City. Il ne sera pas seul dans la traque de Batman pour se venger, puisqu’il sera allié à un nouveau super vilain encore inconnu et assez charismatique l’Arkham Knight d’où le nom de jeu. Notre héros devra une nouvelle fois affronter ses peurs et verra de temps à autre un ennemi bien connu lui apparaitre qui lui fera plus ou moins la morale ainsi que de vieux souvenirs resurgir du passé.

L’Arkham Knight a réuni une armée de soldats prête à tout ainsi que des drones terrestres et aériens pour abattre notre cher justicier. Batman aura beaucoup à faire dans cet épisode, mais il pourra compte ses alliés pour des informations utiles comme Oracle alias Barbara Gordon ou pour combattre à vos côtés comme Robin, Catwoman ou Nightwing. Pour faire face à l’Arkham Knight, Batman aura accès à la nouveauté de cet opus la Batmobile celle-ci nous permettra de parcourir les trois iles de Gotham City qui sont Blake Island, Founders Island et Miagani Island ce qui représente un territoire assez vaste à explorer dans le véhicule de Batman.

Mais elle ne sert à pas qu’à rouler dans les rues de Gotham, mais aussi à se défendre en passant en mode combat la Batmobile devient un tank d’assaut qui pourra rivaliser avec les drones de l’Arkham Knight. Une nouvelle tenu version 8.03 est également de la partie pour des mouvements plus rapide et furieux un rendu plus hi-tech, mais aussi quelques améliorations de ses nombreux gadget non négligeable comme la possibilité d’assommer plusieurs ennemis avec 2 ou plus de Batarang.

Encore une fois notre justicier devra faire la chasse à plusieurs supers vilains célèbres des comics lors de quêtes secondaires mais très utile à l’avancement du jeu comme Double Face, Le Pinguin, Firefly, Man-Bat et certains autres dont nous tairons les noms pour ne pas vous gâcher la surprise. Nigma sera encore de la partie avec ses 243 trophées et énigmes à résoudre et pas des moindres puisque certaines d’entre elles devront se faire à l’aide de votre Batmobile.

Une myriade de choses vous attendent dans Batman Arkham Knight en objectif secondaire, des bombes à désamorcer ou de survivre aux assauts des drones de l’Arkham Knight, des Tours de Guet de la milice à détruire en passant par des soldats du feu à libérer des malfrats, les affrontements même avec de simples brutes sera une lutte de chaque instant, d’ailleurs le système de combat a un peu était amélioré pour mettre hors d’état de nuire avec force et violence les ennemis de Batman. A plusieurs occasion vous combattrez à côté de vos alliée ce qui amènera une petite nouveauté les élimination en duo et vous permettra même de prendre le contrôle de comparse, même la Batmobile pourra jouer un rôle dans l’élimination des ennemis.

Le jeu testé est celui sur Playstation 4 est les décors sont vraiment magnifiques, il reflet très la vision d’un Gotham en décrépitude depuis l’attaque de l’épouvantail, une pluie fine s’abat constamment sur Gotham ce qui ajout du cachet à la ville de nuit, mais qui peut aussi empêcher la visibilité par moment. Plusieurs éléments du décor sont destructibles surtout lors que l’on pilote la Batmobile qui comporte une maniabilité un peu difficile au début (le fait d’appuyer sur L2 pour freiner, habitué au jeux de course vous dites ? ).

Batman Arkham Knight comporte quand même un élément particulier en effet il vous sera demander de terminer le jeu dans sont intégralité (Défis RA non prit en compte) d’arrêtez tous les ennemis de Batman pour dévoiler un protocole qui s’annonce comme l’ultime et véritable fin du jeu. Alors bonne chance, surtout pour les trophées de l’homme mystère.

On Aime :

  • Les graphismes
  • La Batmobile
  • Les Tenues de Batou
  • Le Scénario

On aime moins :

  • La maniabilité de la Batmobile en mode course
  • Les changements de caméra liée à la Batmobile
  • Le Chargement un peu long après chaque mort

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Posted March 8, 2019.
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2.1 hrs on record
La Dragon de Dojima débarque sur PC

La saga des Yakuza m’a toujours intéressé de loin et à l’époque du premier sur Playstation 2, je n’y voyais qu’un banal jeu d’action sans prétention et c’est bien des années plus tard que j’ai pu y voir un potentiel énorme avec l’arrivée des versions Playstation 3 qui était d’une beauté incroyable avec toujours des scénarios profonds qui nous plongeaient dans les affaires d’une guerre des clans de la mafia japonaise. Malheureusement l’anglais n’était pas mon fort à l’époque et je dois dire que j’ai toujours des lacunes sur ce point-là. Avec l’arrivée de la licence sur Playstation 4, je pensais que SEGA aurait au moins fait l’effort de les traduire vu l’engouement des fans français pour la licence, mais non SEGA fait la sourde oreille à nos appelles désespérée et c’est bien dommage.

Bref passons un effort est déjà de mise puisque Yakuza 0 le prélude à la saga sort sur ENFIN sur PC et permet enfin aux PCistes de découvrir la saga sur PC. Faut-il le cout ? Est-il bien optimisé ? Nous allons voir cela.

Le Japon dans les années 1980 devait être un endroit plutôt dangereux. Même si la mafia japonaises pouvait régner sans trop être inquiéter par les forces de l’ordres ce n’était pas non ou régner la terreur, heureusement Tokyo grouiller de divertissements avec des bornes de jeux d’arcade SEGA, des salles de billard, des bowling, pachinko, des bars, karaoké et autres endroits où vous pouviez rencontrer la gente féminine dans ses plus beaux apparat. Au milieu de tous cela, il est incroyable de voir comment Kazuma Kiryu et Go Majima, le protagoniste et l’un des personnages les plus aimés de la série, ont trouvé le temps de démêler un fouillis qui a bien failli mener le clan Tojo vers une guerre intestine qui aurait bouleversé Tokyo et Osaka.

Les deux Yakuza imberbe nous rappellent que le 0 se dérouler plusieurs années avant le premier opus d’origine sortir sur Playstation 2 en 2005 avant de se voir offrir un lifting sur Playstation 4 sous le nom de Yakuza Kiwami. Dans Yakuza 0 les fans de la série vont enfin savoir comment Kazuma et Goro ont obtenu leurs surnom de Dragon de Dojima et Mad Dog les fameux titres honorifiques que nous leurs connaissons depuis le premier épisode.

SEGA à bien su capter l’essence de la licence puisque l’entreprise nippone nous livre l’un des épisodes les plus riches jamais développée. Lorsque nous arpentons les rues de Kamurocho ou Sotenbori nous découvrirons des dizaines d’événements secondaires qui seront la toile de fond plus mature et une intrigue plus complexe, cela peut paraître un peu trop romancée mais cela reste convaincant, mais surtout fonctionnel et cela nous dévoile un aspect de la culture japonaise loin de nos normes.

Yakuza 0 est également divisé en deux gros morceaux distincts mais aussi complémentaires. D’une part, il y a l’histoire principale, remplie de cinématique et de combats épiques, et de l’autre, la section bac à sable, remplie de personnages rocambolesque, de missions secondaires cocasses et des mini-jeux amusants. De ce point de vue, Yakuza 0 est extrêmement varié, de manière à rivaliser facilement avec l’éventail d’activités secondaires observées dans les différentes GTA ou Shenmue, les deux séries auxquelles la série de SEGA est très reconnaissante.

Le jeu étant maintenant de sortie sur PC, il se dévoile sous un jour nouveau sans trop de fioriture il tourne de manière optimale sur notre configuration (i7 2700k / GTX 1060 / 32 Go de Ram). Ici nous voyons qu’il s’agit d’un portage de la PS4 même si les textures sont plus fine ce qui nous donne au final une esthétique plus raffinée, mais on remarque aussi un ancien cadre technique, hérité des précèdent opus de la licence Yakuza qui comporte toujours cette physique rugueuse et son intelligence artificielle peu réactive.

Malgré cela, Yakuza 0 reste un excellent point de départ pour ceux qui sont curieux de découvrir cette série de longue durée. Cet opus est peut-être l’épisode qui résume le mieux les nombreuses activités parallèles avec une histoire agréable et prenante. Yakuza 0 sur PC n’est pas cher 19,99€ sur Steam mais conseillé à un publique qui comprend l’anglais bien sûr.

Retrouvez le test sur mon site : Amicalement Geek [www.amicalement-geek.fr]
Posted March 8, 2019.
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1.7 hrs on record
Pourquoi je me suis intéressé à Dungeon Hearts ? Peut-être pour son côté Final Fantasy Threatrythm très prononcer lorsque j'ai découvert les premiers screenshots du jeu, mais bien sur le rapprochement s'arrête là !

En effet Dungeon Hearts n'est pas un jeu évident à prendre en main au premier abord on lui trouvera les qualités d'un Bejeweled ou le principe est de mettre une série de 3 ou quatre éléments de même couleurs l'un derrière l'autre, tout cela en minimum de temps pour gagner un maximum de point. Le dernier jeu du studio CubeRoot/Devolved Digital propose un système mêlant de l'assortiment d'élément de couleurs quatre au totale et une dose de RPG, ajouter à cela un savant mélange de runes qui corseront votre progression pour atteindre votre objectif final et vous obtiendrez Dungeon Hearts. Devant vous se dresseront des ennemies plus fort les uns que les autres, vous devrais jouer de stratégie et d'astuce pour empêcher la résurrection du Dark One.

Graphisme :

Le côté SD des personnages est très attachant les couleurs du titres sont vives et l'univers permet de se mettre en bonne condition pour appréhender le gameplay.

Gameplay :

Le principe est simple vous possédez quatre héros chacun sa propre couleurs et ayant sa particularité le rouge votre guerrier par excellence, Jaune pour votre mage en bleu le soigneur du groupe et enfin le vert représentant votre archer (green arrow). Quatre ligne représentant la cadre du jeu feront défiler des runes de couleurs attribuer à chacun de vos héros le but étant d'en combiner 3 de même couleurs en les déplaçant pour active une rune de combat est ainsi déclencher l'attaque d'un de vos personnages. Mais, tout cela serait trop simple si les choses ne compliqueraient pas un tout petit peu. En effet des runes ennemies sont aussi de la partie représenter par une tête de mort si vous ne faites pas une rune de combat sur la même ligne qu'elle, vous subirait des dégâts. Encore trop simple pour vous voici encore quelques exemples de runes qui va vous demandez pas mal de réflexion.

  • Les runes sont toutes déplaçable même ceux de l'ennemi sauf celle de forme carré.
  • Certaines runes adverses ne pourront être détruites que par le biais de plusieurs attaques ou de l'attaque d'une couleur en particulier.
  • Des runes de poisson sont aussi de la partie si elle n'est pas stopper l'un de vos héros perdra progressivement sa vitalité.

Je ne vais vous énumérez ce que font toutes les runes pour ne pas vous gâchez le plaisir mais y'a de quoi vous tirez les cheveux à certains moments. Vos héros possèdent aussi des compétences qu'ils pourront utiliser allant de la simple castagne, boule de feu, soin de l'un de vos compagnons ou bien la possibilité de ralentir le « Fatestream » etc...

Bande Son :

Les musiques vous plonge directement dans l'univers avec un rythme effréné de belle accroche musicale pour passer un bon moment de stresse intense !

Durée de vie :

Comptez entre 1 et 2 heures pour compléter une partie pour les plus douées, et plus longtemps pour les autres comme moi.

Conclusion :

Un savant mélange de Puzzle game et de RPG il vous faudra beaucoup de réflexion ainsi que de la stratégie pour réaliser le plus grand nombres de combos et ainsi venir à bout des différents montres pour arriver jusqu'au boss finale. Le jeu ne vous coûtera pas plus de 2,99€ sur la célèbre plateforme de Steam à ce prix là pourquoi s'en privé.

NOTE : 7 / 10
Posted March 8, 2019.
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3.8 hrs on record
Attention ça va trancher chérie !

Après avoir bataillé sur le jeu à mettre en morceau chaque ennemi rencontrer sur notre passage, voici enfin l'heure du bilan de l'un des jeux les plus dynamiques que l'on pouvait espérer voir apparaitre sur PC. PlatinumGames nous délivre là, un Metal Gear d'un genre nouveau certes, tout en gardant la force de la licence de Mr Hideo Kojima.

Raiden, personnage emblématique de la saga à succès Metal Gear Solid depuis son incursion dans Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty. Ce qui à l'époque en avais déroutaient plus d'un en voyant ce nouveau héros efféminé qui portera un temps le nom de code du légendaire « Snake ». Raiden disparus à la fin de Metal Gear Solid 2 sans laisser de trace, certains fans s'étant faite à ce nouveau chevalier de l'infiltration se demandant ou avait-il pu aller ? Il faudra pour cela attendre deux épisodes de Metal Gear et la nouvelle génération de console pour le découvrir dans Metal Gear Solid 4 : Guns of Patriot sur Playstation 3. Quel choc de retrouver Raiden dans une tenue cybernétique maniant les arts martiaux et le sabre comme personne, en d'autre terme il était devenus le ninja cyborg de cette épisode.

Bien qu'il était possible par le passé de s'essayer au joie de trancher dans le vif en prenant le contrôle des anciens ninjas de la saga Metal Gear Solid comme dans le VR Training sur Playstation avec « Gray Fox » ou dans la version amélioré de Metal Gear Solid 2 nommé « Subsistance » et cette fois ci dans la peau « d'Olga Gurlugovich ». On ne nous avait pas encore proposé quelques choses aux commandes de Raiden et de ses incroyables mouvements acrobatiques dignes des professionnelles du cirque. Il était évident qu'un jour le samouraï cybernétique se verrait offrir un Spin off rien qu'à lui. Mainte fois repoussé puis repris de zéro, ce sera finalement le studio PlatinumGames à l'origine de « Bayonetta » ou encore de « Vanquish » qui sera chargée de sa conception, qui de mieux que les dieux du jeu d'action à 300 à l'heure pour donner vie à Raiden.

Histoire :

Quelques années après la fin Metal Gear Solid 4 : Guns of Patriot, Raiden reprend du service comme garde du corps, travaillant pour « Maverick Security ». Dans un monde ou les milices militaires privées et la cybernétique sont en plein boum, il était évident que le combat pour protéger son client d'un enlèvement n'allez pas tarder à se faire sentir. Raiden passa à l'action, après l'affrontement d'une pâle copie du Metal Gear Ray qu'il réduira en miette après plusieurs affrontement (coriace la bête). Malgré cela il ne pourra empêcher le groupe de terroriste « Desperados » de kidnappé le ministre africain sous sa garde. Il se retrouvera même à deux doigt de la mort suite à son combat contre « Jetstream » alias Samuel Rodriguez (dans son comportement et son design je retrouve en lui un personnage de Bleach le Capitaine de la 13e division Shunsui Kyoraku vous ne trouvez pas ?) Un scénario qui va un poil trop vite en besogne, on ressent comme un gout d'inachevé. Des réponses à certains moments aurais était appréciable.

Jouabilité :

C'est un gameplay d'action intensif qui nous est servie par la fine équipe de PlatinumGames. Une joie de castagner puis de trancher dans le vif que ce soit les ennemis, véhicules ou boss qui se mettrons en travers de notre chemin. Un système de parade qui permettra de testé les réflexes des joueurs, bien qu'avec un peu de pratique on y arrive sans trop de problème. Le mode katana aussi et une jolie invention des développeurs, quel joie de pouvoir tout découper en pièce avec notre sabre aussi affûte qu'un «Ginsu 2000» dans un ralenti permettant d'ajuster notre effilage.

Durée de Vie :

Le jeu promet une petite dose de challenge en difficulté « Normal », comptez environ 6 à 7 heures pour en venir à bout. Si les joies du trophy/achivements hunter vous tentent le jeu promet encore quelques heures pour trouver les différents objets à collectée et obtenir tous les rangs S des combats en difficulté maximum.

Bandes Son :

Adieu les musique de la saga Metal Gear, place à quelques choses de plus pêchus qui donnera du peps à vos combats pour les rendre encore plus dynamique. Les voix en anglais restent correctes sans trop être dans la surenchère.

Conclusion :

Le studio japonais signe là encore un petit bijou d'action à l'état pur, ce qui comblera à n'en point douter les fans de ce genre mais, aussi ceux de la saga Metal Gear. Le style reste classique mais, quel sensation de suprématie surtout aux commandes de Jack « the reaper ». Malgré les quelques lacune du scénario, le jeu se rattrape par son gameplay très jouissif.

NOTE : 8/10

PS: L'ayant déjà fait sur console, sur PC je l'ai speed run en 3h !
Posted March 8, 2019. Last edited March 8, 2019.
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