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Il ne faut pas confondre le participe passé épithète en i.s avec le verbe en i.t.
Lorsqu'on peut mettre l'imparfait à la place du mot, il faut écrire la terminaison en i.t du verbe.
Dans le cas contraire, c'est le participe passé épithète en i.s.
Le participe passé épithète a la valeur d'un adjectif qualificatif. Le verbe marque l'action.
Cette pratique était autrefois connue sous le nom de « bestialité ». Au xxie siècle, ce terme est souvent utilisé pour désigner le passage à l'acte sexuel effectif qui peut découler d'une attirance zoophile. Il est aussi question, dans ce cas, d'« actes zoophiles ». Dans la plupart des pays, les activités zoophiles sont illégales en vertu des lois de cruauté envers les animaux ou de « crime contre la nature » ; cependant, la notion d'« abus » est contestée par certains zoophiles.
Apparu au xixe siècle, le terme est à l'origine utilisé dans un sens « platonique ». Ainsi, un journal animé par Victor Hugo s'appelait Le Zoophile. Par extension, le terme a ensuite désigné l'attirance sexuelle d'un être humain pour un ou plusieurs animaux, acception aujourd'hui la plus courante. Les individus ayant une attirance ou une excitation envers des animaux sont appelés « zoophiles ».
Généralement considérée comme une déviance ou une perversion sexuelle, elle devient une paraphilie si elle remplit ces critères, bien qu'elle ne soit plus mentionnée depuis 1980 dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), la référence psychiatrique américaine et mondiale en matière de troubles mentaux.