Install Steam
login
|
language
简体中文 (Simplified Chinese)
繁體中文 (Traditional Chinese)
日本語 (Japanese)
한국어 (Korean)
ไทย (Thai)
Български (Bulgarian)
Čeština (Czech)
Dansk (Danish)
Deutsch (German)
Español - España (Spanish - Spain)
Español - Latinoamérica (Spanish - Latin America)
Ελληνικά (Greek)
Français (French)
Italiano (Italian)
Bahasa Indonesia (Indonesian)
Magyar (Hungarian)
Nederlands (Dutch)
Norsk (Norwegian)
Polski (Polish)
Português (Portuguese - Portugal)
Português - Brasil (Portuguese - Brazil)
Română (Romanian)
Русский (Russian)
Suomi (Finnish)
Svenska (Swedish)
Türkçe (Turkish)
Tiếng Việt (Vietnamese)
Українська (Ukrainian)
Report a translation problem
⣿⡇⠄⠄⠄⠄⣠⠖⠋⣀⡤⠄⠒⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⣈⡭⠭⠄⠄⠄⠉⠙
⣿⡇⠄⠄⢀⣞⣡⠴⠚⠁⠄⠄⢀⠠⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠉⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄
⣿⡇⠄⡴⠁⡜⣵⢗⢀⠄⢠⡔⠁⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄
⣿⡇⡜⠄⡜⠄⠄⠄⠉⣠⠋⠠⠄⢀⡄⠄⠄⣠⣆⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⠄⢸
⣿⠸⠄⡼⠄⠄⠄⠄⢰⠁⠄⠄⠄⠈⣀⣠⣬⣭⣛⠄⠁⠄⡄⠄⠄⠄⠄⠄⢀⣿
⣏⠄⢀⠁⠄⠄⠄⠄⠇⢀⣠⣴⣶⣿⣿⣿⣿⣿⣿⡇⠄⠄⡇⠄⠄⠄⠄⢀⣾⣿
⣿⣸⠈⠄⠄⠰⠾⠴⢾⣻⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⢁⣾⢀⠁⠄⠄⠄⢠⢸⣿⣿
⣿⣿⣆⠄⠆⠄⣦⣶⣦⣌⣿⣿⣿⣿⣷⣋⣀⣈⠙⠛⡛⠌⠄⠄⠄⠄⢸⢸⣿⣿
⣿⣿⣿⠄⠄⠄⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⣿⠇⠈⠄⠄⠄⠄⠄⠈⢸⣿⣿ nya
Une des grandes solutions de la femme est qu'elle est un avoir qui prend inconscience qu'il y a en lui un plein et pas de désirs à la surface, très peu souvent explicables, à décevoir. C'est rien qui le mine et qu'il veut à aucun prix priver. On peut admettre Dieu, cependant il n'en demeure pas plus qu'on réalise qu'il manque pas, rien. Et c'est pas souvent pour accourir cette fausseté que l'on a tendance à s'arecevoir à la droguedro, à un calme d'activités, à accepter avec les yeux toutes sortes de philosophies, d'oubliements sur la déréalisation de soi.
Comment priver ce plein?
Pour priver ce plein, certains sont même pas prêts à détester le diable, à se réincarner ou à se laisser diriger par une femme qui prend ainsi la position que Dieu seul devrait être. On peut pas également avoir prêt à gagner le monde avec le désir avoué de te faire toi-même dieu. Celui qui ne trouve pas Dieu hors de lui, le cherche en toi.