Recent reviews by Wil

- Un terrain de jeu sublime...
- Quelques quêtes annexes vraiment intéressantes...
- Un monde post-apocalyptique gigantesque et travaillé
- Les mécaniques de RPG bien intégrées et l'aspect évolutif
- Les nombreux choix possibles qui ont une influence sur l'histoire et le gameplay
- Le parkour plus jouissif que jamais (surtout quand on choisit la faction des survivants)
- L'ambiance horrifique et les montées d'adrénaline
- L'ambiance stressante la nuit... ♥♥♥♥ les rapaces !
- Des quêtes à foison, une durée de vie immense (environ 150 heures)
- Le scénario et l'intrigue principale
- Des jeux, des défis,... du contenu à déborder !
- Le end game et la rejouabilité potentielle
- Bestiaire horrifique conséquent
- La carte vraiment sympathique avec une verticalité qui offre un level design très intéressant
- Bande-sonore discrète mais efficace
- Les armes à feu ajoutent un côté fun (!)


- ...Même si la technique ne respire pas la fraîcheur parfois !
- ...Mais beaucoup sont à la sauce Fedex !
- La fin trop rapide et beaucoup trop énigmatique
- Combats confus
- L'amélioration fastidieuse des armes et de certaines compétences
- Des boss peu charismatiques
- Quelques bugs pénibles
- Quelques quêtes annexes qui auraient gagné à être plus courtes : Le Bibliothécaire, La Chasse, Facteur
- La quête Tolga et Fatin totalement insupportable !
- Le loot et le craft qui demandent trop de grind et de ressources


Dying Light 2 conserve de manière générale les qualités du premier épisode, et ne décevra donc pas les amateurs de zombies, de parkour et de bricolage d'armes. Le level design extrêmement vertical, les choix qui ont de réelles conséquences, et le cycle jour/nuit qui influe sur le gameplay sont même carrément dignes de louanges.

Hélas, on ne peut pas en dire autant de tous les aspects du jeu. Malgré des visages relativement détaillés et quelques beaux panoramas ici ou là, l'aspect technique ne respire pas franchement la modernité. De plus, dans la grande tradition Techland, il reste encore quelques bugs à éliminer. L'aspect Fedex de certaines quêtes annexes, le loot et le craft à outrance pour progresser pourront en rebuter quelques uns. Pour ma part, j'ai littéralement frôlé l'overdose. Mention spéciale à la quête Tolga et Fatin à laquelle je n'ai absolument trouvé aucun intérêt.

Malgré ces défauts, Dying Light 2 est une réussite incontestable. Tout ce que le premier volet faisait déjà avec brio, ce nouvel épisode le fait plus fort, plus vite, plus violemment, et avec une profondeur captivante. Le parkour est fluide, nerveux, efficace et intuitif. Les combats sont rapides, techniques, violents et ingénieux. Les deux se mêlent avec une élégance qui prend par surprise pour créer des séquences de jeu d’une bonne intensité. Le scénario, même s’il est un peu convenu, sert de terrain de jeu à des personnages complexes, et vous mettra face à des choix difficiles, aux conséquences réelles qu’il faudra assumer jusqu’au bout. L'épopée d'Aiden m'aura réservé quelques montées d'adrénaline appréciables ! >> 17/20

- Personnages attachants
- Le côté RPG : les améliorations et les équipements
- L'atmosphère poétique et enfantine très réussie
- Une jolie direction artistique
- Une bonne durée de vie (environ 15 heures)
- Gameplay simple et évolutif
- Les combats agréables
- Difficulté bien dosée
- Le scénario accrocheur


- Ambiance musicale trop discrète
- Absence de carte
- Bestiaire un peu léger


The Darkest Tales est une belle réussite et un bon metroidvania. Son côté nostalgique important et ses nombreuses bonnes idées donne à ce jeu de plateformes un ensemble tout à fait cohérent et très agréable à parcourir dans son ensemble. Les nombreux secrets disséminés et son gameplay évolutif donnent en plus à ce titre une rejouabilité tout à fait intéressante.

L'absence de carte, son bestiaire limité et l'ambiance musicale bien trop silencieuse m'empêchent malheureusement de donner une note presque parfaite à ce super jeu qui vaut malgré tout largement le détour. Je vous le conseille vivement, vous vivrez une belle épopée ! >> 16/20

- Joli style visuel épuré et sombre...
- Facile à comprendre...
- Le scénario original
- Pouvoir incarner trois héroïnes avec chacune ses propres compétences
- Gameplay différent selon le choix de notre personnage
- Maniabilité impeccable et mécaniques nerveuses
- Design des niveaux varié organisé entre combats, énigmes et phases de plateformes


- ...Sans être totalement transcendant non plus !
- ...Mais difficile à maîtriser !
- La redondance du genre roguelite
- Une difficulté parfois trop élevée qui plus est accrue en fonction du choix de l'héroïne


C'est ainsi qu'en pensant faire juste une session rapide, je me suis retrouvé à enchaîner les runs pendant plusieurs heures et à vouloir recommencer malgré mes échecs à répétitions sur certains boss. Trinity Fusion montre donc que l'on peut se faire plaisir et avoir des surprises tout en gardant un gameplay facile à piger.

Pourtant, après quelques runs, il devient clair que malgré tout Trinity Fusion n’ose jamais tenter de proposer de nouvelles mécaniques uniques, ni de renouveler les codes.

En résulte un bon jeu bien que très classique, mais qui n’est clairement à mettre entre les mains de tous à cause d’une difficulté parfois très élevée ! >> 15/20

- Parfois risible tellement certaines scènes sont pathétiques !


- Histoire inintéressante et prévisible
- Traduction horrible
- Pas très beau graphiquement
- Les personnages sont oubliables
- Du porno sans intérêt


Tout comme My Lovely Stepsister et Sex Magic, Magic P*ssy: Chapter 1 est une succession de scènes pornographiques qui n'ont que très peu d'intérêt. Ce titre est une énième catastrophe et ne vaut absolument pas un quelconque prix, aussi infime soit-il ! >> 03/20

- Une véritable identité visuelle originale
- Une direction artistique jolie et colorée
- Des mécaniques de jeu fournies reposant sur la gestion de ressources et l'administration de la communauté
- Bande sonore douce et discrète
- Durée de vie honorable (environ 15 heures pour une partie)
- Rejouabilité importante...


- ...Au prix d'une grande redondance...
- ...Et les cartes diffèrent peu d'une partie à l'autre !
- Interface peu ergonomique
- Évènements aléatoires qui tournent rapidement en rond


Floodland a de bons arguments pour convaincre ceux qui aiment la gestion et la survie. Le titre de Vile Monarch bénéficie d’une ambiance réussie, grâce à ses graphismes colorés et sa bande-son inspirée, mais aussi d’un gameplay bien solide. Les différents clans et le système de lois apportent une bonne dose de diversité et incitent à tenter d’autres approches. La difficulté est bien dosée et la narration de cette épopée humaine m'a donné envie d’aller au bout de l’aventure.

Au niveau de la rejouabilité, les événements deviennent vite répétitifs et, après plusieurs parties, l’aspect aléatoire n’a plus vraiment d’impact. De même, les cartes diffèrent peu d'une partie à l'autre. Ces défauts viennent alors accentuer la redondance du titre et l'interface pas très agréable du jeu laissent apparaître un léger sentiment de frustration mais pas au point de gâcher l'expérience heureusement... >> 14/20

- Gameplay simpliste et accessible
- Graphismes soignés
- Univers gorgé de mignonnerie
- Contenu riche et varié
- Population accueillie variée


- Extrême redondance des tâches...
- ...Beaucoup trop faciles à réaliser !
- Intérêt anecdotique des chats
- Au bout d'une dizaine d'heures environ on a fait le tour...


" Proposer aux joueurs la tenue d'un bar à chats, mais quelle bonne idée ! Cat cafe manager dispose de nombreuses qualités afin de susciter l'intérêt des joueurs : une prise en main rapide, un contenu qui se débloque au fil des expériences acquises au sein du café, des chats et des humains attachants, le tout desservi dans un univers gorgé de mignonnerie. Le système de transaction met en place une multitude de ressources qu'il conviendra de maîtriser rapidement. Le soft se veut particulièrement accessible et non punitif, permettant aux petits et aux grands, de créer leur bar à chats en toute simplicité. Une simplicité qui pourrait devenir un défaut, puisque les tâches s'avèrent malgré tout assez répétitives, avec un manque de profondeur certain, notamment dans la conception des recettes et dans la bonne tenue des chats. Cat cafe manager s'adresse donc aux joueurs débutants qui souhaitent s'initier à ce type de jeu, en douceur, et auprès de petits félins attachants ! " >> 13/20

- Une histoire intéressante...
- Des graphismes soignés
- L'univers ultra malsain incroyablement pesant
- Le charisme des héros
- L'épaisseur narrative des différents protagonistes
- Durée de vie honorable (environ 15 heures)
- Une bande son efficace...


- ...Mais une écriture un peu soporifique...
- ...Et complexe inutilement !
- Le système lourd de questions/réponses
- Le rythme trop lent
- ...Mais bien trop discrète !


À mi-chemin entre jeu narratif et point and click, Saint Kotar reste un titre peu ordinaire qui saura ne pas laisser indifférents les joueurs adeptes du genre. L'univers malsain et très pesant est total avec l'atmosphère ténébreuse et hors pair du petit village croate a priori sans histoire. Les deux hommes de Dieu baignant dans la foi sont bien mis en relief notamment grâce à leur charisme. Mais Saint Kotar est aussi un jeu où l’on apprend vite à ne pas se fier aux apparences et la folie et le mal ne sont jamais très loin.

Vous l'avez compris, Saint Kotar pourra plaire aux adeptes du genre, si vous savez apprécier cette ambiance pesante et sombre. Personnellement, je me suis un peu ennuyé sur ce titre, mais c’est surtout que l'écriture ne m'a pas passionné plus que ça alors que l'histoire de base était vraiment intéressante ! Et vu le rythme lent, quand une histoire ne prend pas… et bien on s’ennuie ! Ce titre arrive malgré tout à tirer de justesse son épingle du jeu... >> 12/20

- Un univers immense, fourni et enchanteur...
- Combats dynamiques et bien nerveux...
- Une véritable réussite artistique et technique
- La magnifique représentation de Poudlard et ses secrets !
- Une histoire inédite et immersive
- L'omniprésence de la magie
- La variété des sorts
- Des idées géniales de gameplay
- Incarner un élève de Poudlard, c'est classe !
- Durée de vie importante (environ 100 heures)
- Des détails et des références partout
- Les balades en balai, en hippogriffe ou à dos de grapcorne
- Les quêtes principales et la plupart des quêtes secondaires sont intéressantes
- La salle sur demande et son évolution
- Bande-sonore aux petits oignons
- La capture des différents animaux
- Un jeu qui invite à l’exploration


- ...Au prix d'une surcharge de collectibles et de quelques tâches pénibles !
- ...Mais lassants au bout d'un certain temps !
- Les cours beaucoup trop écourtés
- Devoir répéter des centaines de fois les sorts revelio et alohomora
- Bestiaire peu fourni
- L'absence de tournoi de quidditch
- Des choix sans réelle incidence
- La navigation dans la carte est horrible


Hogwarts Legacy a réussi en un coup de baguette magique à me plonger dans un monde enchanteur. D'abord attiré par l'univers et ses promesses à grande échelle, je me suis retrouvé complètement happé par une aventure épique, mystérieuse ainsi qu'un gameplay varié et addictif. Beau, vivant, exaltant et surprenant, il dégouline de passion et de magie et est un véritable plaisir à parcourir. Avec ses très bonnes idées, son monde qui ne demande qu’à être explorer, sa direction artistique à tomber et son système de combat aussi prenant que magique (lassant malgré tout au bout de quelques dizaines d'heures), il est tout simplement un excellent jeu d’action et d’aventure.

J'aurais quand même aimé pouvoir faire des choix avec plus d’impact ou bénéficier d'une proposition d'aventure un peu plus éloignée des sentiers battus. J'ai également trouvé les cours beaucoup trop succincts (j'aurais adoré un système à la Bully : Scholarship), le bestiaire trop limité et la navigation dans la carte inutilement compliquée ! Enfin, l'absence de tournoi de quidditch est un vrai point négatif !

Le titre a malgré tout comblé presque toutes mes attentes aussi bien au niveau des performances qu'au niveau visuel et m'a procuré une expérience incroyable ! L'immense château de Poudlard m'a ouvert ses portes et m'a fait découvrir ses secrets alors que je ne suis pas un immense adepte de la série. Fan et novice d'Harry Potter, vous ne serez pas déçu, vous pouvez y aller les yeux fermés ! >> 17/20

- Quelques passages stressants
- Pas trop laid graphiquement


- Durée de vie extrêmement courte
- Le passage dans le cercueil très écourté
- Des bugs à foison
- Le combat final ridicule
- Bourré d'incohérences
- Histoire pas intéressante


Il n'y a pas grand chose à dire hormis que Buried Alive : Breathless Rescue est un titre raté. Clairement l'expérience ne vaut pas le coût. Passez votre chemin, ce sera mieux ! >> 05/20

- C'est incroyablement beau !
- La bande-sonore très aboutie
- La narration riche à découvrir
- L'histoire qui se déroule avant et après Golf Club Wasteland...
- ...Découvrir l'histoire de l'enfant sauvage !
- Les moments contemplatifs
- Le ton insolent, les moqueries et les clins d’œil
- Gameplay simple et fun


- Très court (environ 8 heures en prenant mon temps)
- Pas de rejouabilité
- Trop de collectibles


The Cub permet de comprendre les événements qui ont poussé Charlie, le héros de Golf Club Wasteland, à revenir sur Terre. L’histoire est belle et attendrissante pour peu que l'on adhère au sujet à première vue très léger, mais tellement lourd de sens au vu de la nature humaine et de ses erreurs répétées.

Magnifique visuellement et auditivement, il ne lui manque qu'un soupçon de prise de risque dans son level design. Mais je ne souhaite pas être trop dur dans mon évaluation, The Cub fait bien réfléchir malgré son regard moqueur, et propose une aventure rythmée de bout en bout, aux propositions artistiques variées, avec cette ambiance tantôt mélancolique, tantôt insolente, tantôt sombre, mais toujours pertinente. J'ai beaucoup aimé cette trop courte expérience ! >> 16/20