Echecs, Reverso, jeu de cartes, dames et tellement d'autres condensés dans un seul titre, tous jouables en ligne. Tabletop Simulator aurait pu se contenter d'être une compilation de jeux de société (ce qui aurait été déjà sympathique) mais c'était sans compter sur une ambition immensément plus grande : la liberté. Libre de leurs mouvements, les joueurs peuvent faire ce qu'ils veulent dans l'ordre qu'ils entendent. Grâce à une physique assez bien foutue on déplace nos pions et jetons façon réalité simulée. Tous les outils et éléments de jeu sont mis à notre disposition pour en faire absolument ce que l'on veut. Au diable le poker et vive le président, le pouilleux et le menteur ! Le revers de la médaille est que l'excès de liberté peut malheureusement parfois tourner à la roue libre. Dégommer toutes les pièces, jeter violemment son cavalier contre sa tour, renverser la table...tous les excès de violence sont possibles et il faudra ainsi s'entourer d'amis qui savent se tenir pour profiter pleinement d'une partie. Sans discipline le carnage n'est pas loin. C'est alors qu'on a envie de voir les baffes pleuvoir. Comme en vrai.

La prise en main assez délicate au premier contact, une fois adoucie par un petit tour de didacticiel, devient d'une parfaite intuitivité passée l'heure de jeu. L'aspect technique dépouillé et les arrière-plans dégueulasses se font très vite oublier pour se plonger tête la première dans l'ambiance de chaque partie. Le contenu (personnalisable) est potentiellement infini ; à vous de piocher dans les règles pré-établies ou d'utiliser les plateaux et les dés pour jouer à vos jeux favoris. D'une partie de Uno à un Monopoly spécial gangs de Marseille crossover Futurama, le champs du possible déjà extrêmement large promet de s'élargir encore plus grâce au modding et au workshop. Instable à l'heure de son early access, Tabletop Simulator est déjà une franche réussite pleine de promesses, un concentré de fous-rires pour peu que l'on s'entoure des bonnes personnes. Sinon il reste les curly. Si le trailer vous donne envie alors foncez : c'est exactement ce que vend et vaut le jeu.

Echecs, Reverso, jeu de cartes, dames et tellement d'autres condensés dans un seul titre, tous jouables en ligne. Tabletop Simulator aurait pu se contenter d'être une compilation de jeux de société (ce qui aurait été déjà sympathique) mais c'était sans compter sur une ambition immensément plus grande : la liberté. Libre de leurs mouvements, les joueurs peuvent faire ce qu'ils veulent dans l'ordre qu'ils entendent. Grâce à une physique assez bien foutue on déplace nos pions et jetons façon réalité simulée. Tous les outils et éléments de jeu sont mis à notre disposition pour en faire absolument ce que l'on veut. Au diable le poker et vive le président, le pouilleux et le menteur ! Le revers de la médaille est que l'excès de liberté peut malheureusement parfois tourner à la roue libre. Dégommer toutes les pièces, jeter violemment son cavalier contre sa tour, renverser la table...tous les excès de violence sont possibles et il faudra ainsi s'entourer d'amis qui savent se tenir pour profiter pleinement d'une partie. Sans discipline le carnage n'est pas loin. C'est alors qu'on a envie de voir les baffes pleuvoir. Comme en vrai. La prise en main assez délicate au premier contact, une fois adoucie par un petit tour de didacticiel, devient d'une parfaite intuitivité passée l'heure de jeu. L'aspect technique dépouillé et les arrière-plans dégueulasses se font très vite oublier pour se plonger tête la première dans l'ambiance de chaque partie. Le contenu (personnalisable) est potentiellement infini ; à vous de piocher dans les règles pré-établies ou d'utiliser les plateaux et les dés pour jouer à vos jeux favoris. D'une partie de Uno à un Monopoly spécial gangs de Marseille crossover Futurama, le champs du possible déjà extrêmement large promet de s'élargir encore plus grâce au modding et au workshop. Instable à l'heure de son early access, Tabletop Simulator est déjà une franche réussite pleine de promesses, un concentré de fous-rires pour peu que l'on s'entoure des bonnes personnes. Sinon il reste les curly. Si le trailer vous donne envie alors foncez : c'est exactement ce que vend et vaut le jeu.