Deux ans plus tard, Onyx Lute sort la séquelle de Glass Masquerade. J’avais adoré le premier, surtout sa direction artistique et son ambiance relaxante au possible, et espérais silencieusement découvrir de nouveaux puzzles et œuvres d’art à recomposer dans un avenir proche.

Ameno, mon vœu a été exaucé. Et vous savez quoi ? Ils ont gardé les mécaniques de jeu de base en plus de nous gratifier d’un mode de jeu « difficile », d’un nouveau thème fantastique bien plus sombre que le précédent et d’une palette de couleurs exaltante !

L’apport d’un second niveau de difficulté est vraiment le bienvenu. Il est toujours possible de « speedrunner » les puzzles en mode facile et d’apprécier la beauté de chaque œuvre après cinq voire dix minutes de déplacement de pièces tournées dans le bon sens au préalable… mais dès que vous avez activé le mode difficile, je vous conseille vivement de mettre un casque ou des écouteurs dans vos oreilles (ou ailleurs, cela ne me regarde pas après tout), de placer un bon coussin bien épais sous vos fesses et de préparer un bon café ou chocolat chaud (ou toute autre boisson chaude, faites-vous plaiz'). « Pourquoi donc ? » me demandez-vous en haussant les sourcils, et bien parce qu’il vous faudra probablement entre quarante et soixante minutes pour placer toutes les pièces au bon endroit et être récompensé d’un succès ô combien mérité.

Pivoter les pièces soi-même paraît logique. Nous faisons la même chose que nous nous lançons dans la recomposition d’un puzzle physique. Malheureusement, vous ne pouvez pas voir la couleur des pièces en stock ni toutes les analyser en même temps. Le fonctionnement avec les quatre roues a été conservé, ce qui signifie qu’il vous faudra utiliser la molette de la souris pour potentiellement trouver votre bonheur dans la réserve. Je ne considère pas cela comme un point noir, étant donné qu’on ne voit pas trop quel autre système pourrait être mis en place tout en respectant l’esprit du jeu, et accepte sans ronchonner cet élément de gameplay peu confortable.

Que dire d’autre ? À l’instar du premier, vous ferez sans aucun doute un très bon choix si vous décidez de l’acheter. Regardez-moi donc ces images et ce trailer et osez déclarer, en me regardant droit dans les yeux, que cela ne vous fait pas baver.

Vous l’aurez compris, je recommande vivement ce jeu au prix largement abordable.

Ce que j’apprécie :
💹On garde le même gameplay que le premier jeu, mais avec de nouvelles œuvres
💹La direction artistique qui donne des frissons et l’ajout de contenu textuel
💹L’ajout d’un niveau de difficulté plus élevé pour travailler son sens de l’observation

Ce qui aurait pu être amélioré :
💢 La traduction me paraît un peu bancale en français.

[h1][Dixième évaluation] Pour consulter d'autres évaluations dans la même veine, rendez-vous sur [url=https://store.steampowered.com/curator/34625938/]ma page de curateur[/url]. Bonne lecture.[/h1] Deux ans plus tard, Onyx Lute sort la séquelle de Glass Masquerade. J’avais adoré le premier, surtout sa direction artistique et son ambiance relaxante au possible, et espérais silencieusement découvrir de nouveaux puzzles et œuvres d’art à recomposer dans un avenir proche. Ameno, mon vœu a été exaucé. Et vous savez quoi ? Ils ont gardé les mécaniques de jeu de base en plus de nous gratifier d’un mode de jeu « difficile », d’un nouveau thème fantastique bien plus sombre que le précédent et d’une palette de couleurs exaltante ! L’apport d’un second niveau de difficulté est vraiment le bienvenu. Il est toujours possible de « speedrunner » les puzzles en mode facile et d’apprécier la beauté de chaque œuvre après cinq voire dix minutes de déplacement de pièces tournées dans le bon sens au préalable… mais dès que vous avez activé le mode difficile, je vous conseille vivement de mettre un casque ou des écouteurs dans vos oreilles (ou ailleurs, cela ne me regarde pas après tout), de placer un bon coussin bien épais sous vos fesses et de préparer un bon café ou chocolat chaud (ou toute autre boisson chaude, faites-vous plaiz'). « Pourquoi donc ? » me demandez-vous en haussant les sourcils, et bien parce qu’il vous faudra probablement entre quarante et soixante minutes pour placer toutes les pièces au bon endroit et être récompensé d’un succès ô combien mérité. Pivoter les pièces soi-même paraît logique. Nous faisons la même chose que nous nous lançons dans la recomposition d’un puzzle physique. Malheureusement, vous ne pouvez pas voir la couleur des pièces en stock ni toutes les analyser en même temps. Le fonctionnement avec les quatre roues a été conservé, ce qui signifie qu’il vous faudra utiliser la molette de la souris pour potentiellement trouver votre bonheur dans la réserve. Je ne considère pas cela comme un point noir, étant donné qu’on ne voit pas trop quel autre système pourrait être mis en place tout en respectant l’esprit du jeu, et accepte sans ronchonner cet élément de gameplay peu confortable. Que dire d’autre ? À l’instar du premier, vous ferez sans aucun doute un très bon choix si vous décidez de l’acheter. Regardez-moi donc ces images et ce trailer et osez déclarer, en me regardant droit dans les yeux, que cela ne vous fait pas baver. Vous l’aurez compris, je recommande vivement ce jeu au prix largement abordable. Ce que j’apprécie : 💹On garde le même gameplay que le premier jeu, mais avec de nouvelles œuvres 💹La direction artistique qui donne des frissons et l’ajout de contenu textuel 💹L’ajout d’un niveau de difficulté plus élevé pour travailler son sens de l’observation Ce qui aurait pu être amélioré : 💢 La traduction me paraît un peu bancale en français.