46
Products
reviewed
1744
Products
in account

Recent reviews by loadfire

< 1  2  3  4  5 >
Showing 1-10 of 46 entries
14 people found this review helpful
4 people found this review funny
36.3 hrs on record (21.0 hrs at review time)
En été 2005, je jouais à mon premier moba : Navyfield.
Un jeu (disponible aussi sur Steam) avec des petits navires de guerre de la seconde guerre sur une carte avec des îles et tout. Bref, la même chose que World of Warships mais en 2D.
Je me rappelle avoir passé de bons moments dessus le temps d'un été et avoir espéré très fort le même jeu mais en 3D.

Prêt d'une décennie plus tard Wargaming annonça l'arrivée de WoW en bêta. Je me suis jeté dessus et j'avais pris un pied monstre. J'avais joué le jeu quelques dizaines d'heures avant de le lâcher (sans me rappeler pour quelle raison).

Le voir arriver sur Steam m'a donné l'occasion de remettre la main dessus.
Hop, j'installe, je lance quelques parties, le plaisir est là mais finalement, je ne pense pas persister dessus. Vu que là c'est tout frais, je vais partager mon avis sur la chose.

WoW est donc un MOBA avec des navires en majorité de l'époque de la seconde guerre.
On joue des partie sur des cartes dont l'objectif est de prendre les positions adverses (dans la majorité des cas, c'est souvent un match à mort).
La plastique du jeu est plutôt belle (voir très belle). Les navires sont superbement modélisés.

On a 4 classes de navire.
- Les Destroyers (DD): peu blindés, agiles et rapides.
Ils sont parfaits pour repérer et traquer les cuirassés ennemis, balancer des torpilles qui font d'énormes dégâts et capturer des bases. Une espèce de scout vnr.
- Lers croiseurs (CA): Ils sont rapides, maniable et ont une belle puissance de feu. Ils sont essentiels au soutien des cuirassés et des porte-avions. Ils apportent un plus non-négligeable en antiaérien.
- Les porte-avions (CV): Classe la plus tactique du jeu. Il se joue en ayant une vue d'ensemble (donc stratégique) de la map (d'ailleurs, se joue facilement à partir de la map seule). Il transporte différents types d'avions (bombardiers, bombadiers-torpileeurs et les chasseurs). Vous devez gérer en même temps plusieurs unités. Reste toujours à l'arrière protégé par ses mates. Il est le jungler de WoW ... nan j'déconne ^^
- Les cuirassés (BB): Les navires les plus puissants du jeu. Très gros calibres, énorme blindage, grosse artillerie secondaire et anti-aérien. Ils se trainent et ont une manoeuvrabilité à dormir. L'énorme portée de tir compense largement ce point.

Et justement, en parlant de portée, j'adore ce jeu car il s'agit avant tout d'un jeu de placement. Contrairement à d'autres moba ou j'ai tendance à rager un peu trop facilement (hmhm) à cause d'une équipe en bois, sur WoW, quand je perds mon navire, je ne peux m'en vouloir qu'à moi-même car je me suis trop exposé ou fait une autre erreur ayant amené au résultat non-voulu.

Amusant à rusher le temps de quelques jours, de bons moments et de bonnes sensations (loin d'une simu bien entendu).

Cependant, le jeu a toujours les mêmes problèmes (et c'est là que je me suis rappelé pour quelle raison je n'avais pas persisté sur ce jeu). Le pire étant d'arriver au tiers IV et se casser les dents devant un mur (qui s'exprime ici par des destructions instantanées).
Arrivé en bataille avec mon navire de Tiers IV, lorsque je suis repéré et que je suis exposé, je me doute bien que je serai rapidement cibler. Je m'attend à recevoir des premières salves qui feront office de tir de jugé avant de recevoir la sauce juste derrière.
Sauf qu'à la place, les premiers coups sont (quasi) tous des coups plein au but (allant jusqu'à me faire instant OS).

Arrivé sur une dizaine de partie, malgré des parties souvent équilibrées, je me suis posé la question. De premiers coups au but qui me mettent mid-life me laissent perplexe par leur fréquence. Je reprends un Tiers III & II, je teste, je m'amuse beaucoup plus. Etrange. Les parties restent équilibrées mais ces coups critiques (par leur fréquence) m'interrogent.
L'histoire des AIMBOT ne peut pas justifier ce scénario vu et repété. Je devrai persévérer.

J'ai passé quelques jours à reprendre mes repères, bien comprendre les différences de classe, comment jouer leur rôle, bien se placer et j'ai été jusqu'à mémoriser les blindages de pas mal de navire de tiers IV (sur ce point, c'est mieux fait que durant la bêta).
Mais rien y fait. Il y a comme ce mur arrivé en tiers IV qui me gêne pas mal. Sur certaines partie, vous avez des joueurs qui vous mettent des coups au but direct et d'autres parties ou c'est tout l'inverse.

Autre point, le plaisir du jeu solo. On a beau dire mais jouer à plusieurs doit avoir un impact.
Dans mon cas, je suis un joueur solo. Je pense que cela doit jouer sur le plaisir à revenir sur ce jeu. Il y a ce système de clan mais dur de rejoindre un clan lorsqu'on a personne dans son entourage qui joue au même jeu.

Dernier point négatif, Wargaming et ses tarifs déraisonnables.
Que vous vouliez des doublons (la monnaie du jeu), acheter un nouveau navire ou autre ne serait-ce que pour soutenir le jeu auquel vous jouez (quoi de plus normal), vous allez sur la boutique et là ... ça pique un peu.
C'est un défaut récurrent des jeux Wargaming qui m'a toujours tenu à l'écart de leurs jeux.
Acheter un navire au prix d'un jeu AAA ... haha
Encore que sur ce point, je dois nuancer, n'étant pas partial. Je n'ai jamais aimé le modèle F2P (à quelques exceptions prêts).

Il reste l'aspect des parties classés (ranked) mais je n'ai jamais touché la chose.

Dans tous les cas, ça reste un kiff à faire pour peut qu'on aime le genre.

Look sharp, marines !
Dead whale or sunk boat !
Hunt him 'til he spouts black blood
And rolls fin up !
Posted November 23, 2017. Last edited November 24, 2017.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
24 people found this review helpful
11 people found this review funny
0.9 hrs on record
En moins d'une heure, +1700 succès. C'était amusant sur les deux premiers (surtout le premier, le second, je trouvais ça déjà limite) mais là, ça ridiculise les achievements sur Steam.

Soyons clair, on parle ici du seul intérêt du jeu, les succès.

Les achievements sont une métagame à part entière et même si je ne suis pas de ceux qui aiment jouer là-dessus, avec des succès comme faits d'arme sur des jeux qu'on a aimé (ou pas), c'est une façon comme une autre d'afficher notre historique de gamer (casu ou hardcore) avant tout pour soi.

Et Zup! 3 arrivent pépère comme pour te dire "Tu te rappelles toutes tes aventures que tu as aimé porter à la postérité ? Bah oublie ! Je te propose de te gaver de succès facile parce que je n'ai aucune condition sur la mise en place des succès. Ca te tente ?"

En fait, Zup est le serpent qui vient te souffler à l'oreille la tentation de mordre dans la pomme.

On peut dire un gros merci à Valve. Plus de 4.000 jeux en 2016 et un foutoir de plus en plus ingérable. Il faut pas s'attendre à des miracles de leur part. Dommageable.


Bon, c'est pas tout mais j'ai un autre jeu avec +1.000 succès à faire.
Posted January 17, 2017. Last edited January 17, 2017.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
6 people found this review helpful
2 people found this review funny
0.6 hrs on record
Zup! = 119 achvs
Zup! 2 = 229 achvs
If 229 > 119
then Zup! 2 > Zup!
Goto Zup! 2
RUN
Posted December 5, 2016.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
4 people found this review helpful
1 person found this review funny
1.9 hrs on record
Best Game Ever.
118 achievements & complete en 15mn ... what else ?
Posted October 9, 2016.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
3 people found this review helpful
2 people found this review funny
32.6 hrs on record
En jouant à TransOcean, j’avais comme un sentiment de nostalgie qui s’est installé très vite en moi. L’impression de connaitre ce jeu sans pourtant réussir à lui placer quelques souvenirs à son endroit. Finalement, c’est au bout de quelques heures de progression que je me suis rappelé d’un jeu sur Amiga qu’un ami, chez qui j’avais été pour jouer à Crazy Cars et Another World un mercredi après-midi, m’avait proposé d’essayer. Loin d’être convaincu, je lui ai gentiment dit qu’il était pas mal que ce serait mieux si on passait à des vrais jeux. Je n’avais jamais retenu son nom et c’est en cherchant sur internet que j’ai fini par lui recoller un nom, Ports of Call.

TransOcean est une grosse mise à jour de ce jeu de gestion de compagnie maritime. On commence avec un investisseur qui vous confie une somme d’argent, suffisant pour acheter votre premier rafiot. Le début du jeu fait office de tuto, on se laisse guider aisément et nous voilà déjà à devoir choisir notre premier port d’attache qui fera office de siège social. Parmi les différents ports proposés, il m’a semblé opportun de choisir un port en méditerranée où le trafic maritime me permet de réaliser de jolis contrats très vite.
Bien entendu, votre premier cargo est un collecteur (feeder) et pas des plus gros. Mais les premiers contrats honorés seront autant d’argent qui vous permettront de voir plus grand, plus gros. Il y a 5 classes de cargo, chacune avec ses caractéristiques. Et mêmes les navires de même classe différent tous des uns des autres.

La mer ne se vante pas d’être salée.

L’idée est simple, vous devez signer des contrats afin de remplir votre cargo de marchandises diverses. Vous avez accès à différents types de contrat selon le port où vous vous situez. Certaines affaires sont légales d’autres moins. Le choix de vos contrats se fera en fonction de la possibilité de fret de votre navire, de la destination, s’il y a un délai, etc. Le tout est de s’assurer un bon retour sur investissement pour chaque trajet effectué. De manière aléatoire, vous pouvez avoir un contrôle maritime et si vous transporter de la marchandise illégale, ce sera amende et immobilisation de votre navire durant un laps de temps (toujours un manque à gagner).

Mais la mer n'achète pas de poissons.

Le but est de grossir sa flotte afin de s’assurer un flux toujours plus important d’argent entrant. Facile d’accès, la monotonie pourrait vite s’installer si le jeu ne proposait pas des objectifs de mission. Chose qui nous permet de garder un cap et de continuer tout en faisant attention au rendement de nos navires, leur état (si besoin de rester en cale sèche pour réparation), opérer des travaux d’améliorations (moteur, coque, …) et acheter des licences pour être en légalité de fret de certaines marchandises (alcool, produits chimiques, armes).

En suivant le fleuve, on parvient à la mer.

Le jeu propose à chaque arrimage et accostage à un port de prendre les commandes de votre engin. C’est amusant à faire quelques fois, on s’amuse surtout de l’effet d’inertie propre à la conduite d’un (gros) bateau. Cependant, la répétitivité s’installe très vite. Au début, on fait cette opération presque systématiquement afin de faire des économies. Ensuite, dès que la routine s’installe, on automatise cette action qui nous coûte 100.000€ (pour la plus petite classe. Cela peut monter jusqu’à 400.000 pour les plus gros).

L'argent fait un chemin dans la mer.

Le problème de ces passages au port, en plus de la répétitivité c’est l’optimisation graphique. Plus d’une fois j’ai eu des baisses de framerate incompréhensibles. Généralement, lorsque j’arrivais à un nouveau port, je le faisais au moins une fois en arrivant et en partant (pour l’aspect découverte) et par la suite, je le faisais en automatique.

Chacun peut gouverner lorsque la mer est belle.

L’un des cœurs du jeu, ce sont les contrats client. Parmi les objectifs de mission, le jeu vous propose très vite de signer des contrats client où vous devez livrer un certain type de marchandise pour un client spécifique à destination d’un port bien précis. J’ai eu le malheur la première fois d’accepter tous les contrats d’un coup. Mal m’en a pris car je me trouvais avec des délais à respecter sous peine de m’exposer à des pénalités. Et là, je pense que ça m’a fait rappeler quelques souvenirs professionnels (tu sais, quand on te demande de livrer des tâches précises dans des délais limites sans t’en donner les moyens). Vous vous projetez et vous réaliser que vous allez devoir investir dans votre flotte, prendre des risques sur la maintenance afin d’assurer au mieux les délais, vous optimiser vos trajets afin de faire rentrer le plus possible de brouzouf. J'ai même sorti un calepin afin de noter les marchandises à prioriser. Finalement, passé ce rush (environ une vingtaine d’heure), j’ai pu me libérer de mes contraintes et voguer en mère plus calme.

Une mer calme n’a jamais fait un bon marin.

D’ailleurs, l’un de vos navires peut aussi à tout moment faire face à une tempête. 2 options s’offrent à vous, vous contournez la tempête en allongeant votre trajet ou de la traverser avec les risques d'avarie ou de perte de votre rafiot. J’ai perdu un navire de la sorte. Ma seule perte. Je l’avais nommé Titanic. Ça m’a débloqué un succès. J’en ai ri.

Au final, j'ai aimé ce jeu. L'objectif final est de racheter les part de l'investisseur (2 ou 3 millards). Sur la fin, la routine s'installe. Quand vous réalisez votre but, le jeu vous propose simplement de continuer. Vite expédiée comme fin, dommage.

De toute façon la mer c'est dégueulasse, les poissons baisent dedans !
Posted August 1, 2016. Last edited August 1, 2016.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
7 people found this review helpful
3 people found this review funny
31.1 hrs on record
Bionic Dues trainait dans ma bibliothèque depuis déjà quelques temps. Je l’avais installé mais à peine touché et remis au grenier. Je pense qu’il a souffert du fait que je me suis vu refourguer une clé gratuite (un giveaway comme on dit aux states) de ce jeu par un site qui propose des bundle de star. Du coup, j’ai dû assimiler « petit jeu sans intérêt qu’on refourgue pour se débarrasser ».

Finalement, j’ai pris le soin de m’y pencher un peu. Après tout, il s’agit d’un jeu d’ARCEN et j’avais adoré IA WAR et j’avais ici tout ce que j’aime, des robots (des exos) et de la strat. Le genre pourrait se définir comme …du Space Hulk rogue-like ou bien, pour faire plus générique, à un tactical tour par tour semi-temps réel (à tes souhaits).

Nous sommes dans une ville du futur, des robots ont décidé de se rebeller. On est appelé à la rescousse et pour nous aider, nous avons une escouade de 4 robots. Il nous appartient de définir le chef d’escouade (un humain, homme ou femme) et de choisir 4 robots parmi les classes suivantes : NINJA, ASSAULT, SIEGE, BRAWLER, SNIPER et SCIENCE. Chacun ayant bien entendu des points forts et permettant à terme d’élaborer des techniques d’approche afin de se donner le plus d’affinité avec votre feeling de jeu.

Une fois choisi la composition de votre équipe, vous avez accès à la carte de la ville (celle-là même qui a été pris d’assaut par une rébellion de robot et qu’on n’évacue pas pour les besoins du scénario). C’est à partir de cette carte que vous pourrez commencer à choisir les missions. Il y a différents types de mission qui se porte à votre choix. Des missions de sauvetage d’otage, destruction d’un arsenal, une usine de fabrication des robots rebelles, et tutti quanti. Vous avez 50 jours avant que l’ennemi ne lance une attaque gigantesque sur votre base. Généralement, une mission égale un jour (il y a un type de mission qui compte pour 5 jours mais qui peut avoir un impact énorme pour la réussite de votre partie). Le choix des missions peut s’avérer judicieux afin d’arriver au bout le mieux paré face à l’ennemi. Il faut d’ailleurs noter qu’il y a 4 types de mission qui ont un impact direct sur la composition des forces ennemies restantes. Le plus simple, c’est d’arriver jusqu’aux derniers jours et de garder sous la main quelques missions de destruction d’usine et d’assassinat (par exemple).

A mon sens, le plus gros problème de ce jeu est sur l’aspect visuel. Il faut être franc, c’est moche. J’ai rarement vu un jeu aussi moche. Le pire étant qu’on dirige des robots. Ça doit avoir la classe un exosquelette ! Ici, même ma casserole avec laquelle j’ai fait à manger ce soir est plus belle (parce que c’est l’idée qui m’a traversé l’esprit en faisant à dîner tout à l’heure) !
Ce point négatif, en plus d’avoir un impact vis-à-vis de notre affectif éventuel pour les exos a aussi un effet handicapant ingame. En effet, lorsque vous évoluez sur une map, il peut vous arriver de confondre un bloc, une citerne et un exo ennemi (du coup, vous vous exposez bêtement) ou, moins grave, vous ne voyez pas qu’un bloc vous bloque (cette rime…) le passage. Rien d’insurmontable. Si vous êtes précautionneux, vous pouvez facilement éviter quelques désagréments.
Un autre effet pervers de ce mauvais point est aussi que pas mal robots ennemis peuvent se ressembler. Un sniper ou une unité d’assault ? Je ne fais pas la différence visuellement à la première approche et je suis obligé de repasser sans cesse mon curseur sur l’unité ennemie afin de mieux l’appréhender.
De plus, lorsque vous configurez un robot, vous aimez à voir l’impact visuel directement sur votre Mecha. Vous lui ajoutez un lance-roquette sur l’épaule droite et ajouter une unité de précision MKII pour un sniper de 20 de range, vous vous attendez à voir votre robot prendre la pose avant de le prendre en photo pour l’ajouter à votre album de famille (c’est ce que je fais depuis mon tout premier Front Mission). Ici, que dalle ! Dommageable aussi bien esthétiquement qu’en terme de jouabilité (mais je le répète, loin d’être insurmontable).

Et vient tout de suite après l’un des points forts du jeu. La customisation. Vous faites des missions avec différents objectifs. Il y a pas mal de loot et certaines missions peuvent privilégier du loot d’arme, d’autre des boucliers, générateurs, etc. Une fois la mission terminée, vous retournez sur la map et passer tout de suite à la customisation de vos robots. Et croyez-moi, c’est là qu’on passe le plus de temps. Une fois un certain nombre de loot, votre inventaire de stuff vous permet de configurer chacun de vos robots (chaque robot à un nombre de slot disponible) en fonction de vos envies. Bien entendu, vous allez barder votre NINJA de point de furtivité, votre robot SCIENCE sera gâté en point de hacking ainsi qu’un maximum de range sensor (car un SCIENCE peut voir de loin et ainsi permet de suite d’élaborer la meilleure approche possible). Finalement, chaque robot a ses points forts qui se révèlent à mesure qu’on avance dans le jeu. C’est vous-même qui dessiner les spécificités de vos robots. Avant de lancer une nouvelle mission, vous aurez peut-être passé un temps fou à trouver la meilleure configuration possible. Parfois, vous recommencerez à partir de zéro et vous serez surpris d’avoir réussi une meilleure customisation, et de là, vous n’aurez qu’une envie, allez tester ça en mission.
Pour les items, vous avez du loot mais aussi un store à partir de la map. Le mieux est d’aller y faire un tour de temps en temps voir s’il n’y a pas un item qui ferait vraiment la différence une fois équipé sur l’une de vos machines. Sinon, le mieux et de garder vos sous jusqu’à la fin.

L’IA est particulière. Chaque robot à ses propres réactions. Il suffit d’un petit coup de curseur pour voir le descriptif dudit robot (en plus de ses caractéristiques comme sa portée, ses points de vie, d’attaque, …). Le descriptif est souvent amusant à lire. Vous verrez par exemple « Ce robot est un couard. Il n’attaque pas s’il est tout seul » ou un autre « si un robot explose à côté de lui, il panique et n’attaque plus » ou encore « dangereux mais ne sait pas viser. Ce sont ces camarades qui vont pas être content ». Le pire que j’ai rencontré était un robot boss avec un nombre de point de vie monstrueux, une portée de dingue et des dommages à te one shot un exo : « S’il est le dernier robot restant sur la map, il s’autodétruit » …dommage que cette fois-là j’étais tombé sur lui en début de mission (j’ai pesté).

Côté son, première fois que j’ai lancé ce jeu, j’ai entendu le générique chanté. La musique est signé Pablo Escobar Vega. J’adore. Les musiques collent assez bien à l’ambiance du jeu. Cependant, passé quelques missions, j’ai muté le jeu et j’écoutais autre chose. D’ailleurs, dommage que les voix des robots soient aussi …random au possible.

Je garde une bonne impression de ce jeu. J’y ai passé de très bon moment. C’est vraiment un genre que je souhaite revoir encore sur d’autres jeux (en plus beau si possible et avec une histoire).

Si vous aimez le tour par tour, passer des heures à customiser vos unités et qu'on vous a refouruguer ce jeu d'une manière ou d'une autre, faites-le !
Posted July 31, 2016. Last edited August 2, 2016.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
6 people found this review helpful
1 person found this review funny
23.1 hrs on record
Anomaly : Warzone Earth était sorti à une période où le Tower Defense était très en vogue et qui fonctionnait sur une base immuable : le joueur protège sa base en achetant et disposant des tourelles avec des pouvoirs spécifiques qui vont ensuite subir l’assaut de vague successives d’ennemis. Sauf qu’ici, les gars de 11bit Studios (ceux-là même qui bien plus proche d’aujourd’hui nous offrirons This War Of Mine) ont décidé de proposer un Tower Defense en inversant la recette en plaçant le joueur du côté de la vague d’assaillants qui doit survivre aux tours de défense. Ainsi le Tower Offense était né.

No Offense bro

Principe absolument génial qui verra deux suites : Anomaly Korea et Anomaly 2 chacun apportant son lot de nouveauté mais restant dans le même genre que leur ainé. Le genre se prêtant délicieusement à l’interface tactile, il est un de mes meilleurs souvenirs de jeu tablette et mobile.

Un peu comme pour en finir avec le cycle des Anomaly, 11bit a décidé de faire cette fois jouer le rôle de l’envahisseur envahi (les humains passant à l’offensive allant jusqu’à la planète d’origine des assaillants des premiers jeux). Résultat, on se retrouve dans le rôle du Tower Defense (on renverse la recette inversée). Là où auparavant nous devions faire avancer une escouade d’un point A au point B, nous nous retrouvons aujourd’hui dans le rôle d’un Tower Defense des plus classiques.
Alors bien entendu, on peut s’attendre à être quelque peu déçu du fait de revenir au classique du genre sans rien apporter de nouveau mais le plaisir prend (peut-être grâce à l’ambiance et l’univers installé par les Anomaly au fil du temps).

Le jeu est assez court. 24 missions chacun en 3 difficultés (easy/normal/hard) et peut se finir rapidement si vous décidez, par exemple, de le finir en un seul mode de jeu. En terminant une mission, vous vous verrez attribuez des points de technologie que vous pourrez dépenser dans un arbre technologique (logique). C’est tout bête mais plus vous avancerez et plus vous aurez envie d’avoir de ces points et même très vite les réattribuer afin de ‘mieux passer’ un niveau et ainsi engranger encore plus de points. Les technologies débloquent divers bonus et capacités pour vos tours de défense.
Bien entendu, chaque tour à ses caractéristiques, en attaque ou en défense, et sera plus ou moins capable en fonction de l’ennemi rencontré (ou plutôt, devrait-on dire en fonction de la composition des vagues ennemies rencontrées).

Comme sur les anciens Anomaly, vous pourrez disposer de compétences spéciales utilisables sur vos tours (comme le bouclier, sniper qui augmente la portée, réparation, la rage, etc). Des compétences qui se retrouvent justement dans l’arbre technologique où vous pourrez les débloquer en fonction du nombre de point de technologique possédé. Ces capacités seront utilisables en mission en fonction du caucarusium que vous récoltez soit avec une tour de récolte sur un emplacement spécifique ou en fonction du nombre d’ennemi tué. C’est la ressource alien du jeu, notre ressource. Et en tuant vos ennemis, vous cumulez aussi de l’énergie (qui remplace les $Dollars$ des anciens Anomaly) qui seront nécessaires pour placer vos tours, les upgrader et finir la mission avec le meilleur score possible. D’ailleurs, l’ensemble des valeurs comme la difficulté, l’énergie amassée et le nombre d’unité perdue, détermineront le nombre de point technologique débloqué.

Esthétiquement réussi, l’habillage du jeu reste dans la trempe des premiers, au top. La musique vous plonge dans l’ambiance pendant que les effets visuels, sans trop en faire, vous plonge un peu plus dans l'univers spatiale du jeu. Cependant, au fil des missions, on peut regretter le manque de variété des décors.


Anomaly Defenders est un bon Tower Defense pour débutants et les plus courageux pourront s’atteler aisément à la complétion du jeu (la chose étant largement accessible sans y passer trop de temps).

On a rarement ce jeu en bundle ou en promo. Un bon petit jeu qui peut-être ne vaut pas le prix demandé (10€) mais à prendre sans souci en promo pour qui veut s'y essayer.
Posted July 31, 2016.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
6 people found this review helpful
48.5 hrs on record
Pour qui connait Panzer General, il n'y a pas grand chose à apprendre sur ce Panzer Corps. C'est une espèce de Remaster d'un grand classique du Wargame WWII édité par Slitherine (spécialite du genre).

Vu toutes les reviews dispo depuis quelques temps, et le style de celui-ci n'étant pas dans sa technique, il faut retenir l'expérience sur le terrain (et le comparer au classique du genre Panzer General dont il s'inspire directement et toute la clique de wargame WWII tour par tour qui sont de plus en plus légion sur le store).

On note tout d'abord un véritable équilibrage entre les différents types d'unité. Sur un vieux Panzer General, je me rappelle que ça tenait de l'exploit que de réussir à descendre un Tigre avec des fatassins.
Les bonus/malus de position n'est pas frappant (une unité fantassin tenant une ville n'aura pas de gros bonus de défense).
Les bombardements stratégiques n'ont pas une énorme incidence au coup (par contre, une orgie contre les unités navales).
Les bombardements tactiques, par contre, peuvent être d'un salut efficace face à des unités blindés trop pressantes.

Sinon, l'esprit de la chose (du WWII) est respecté. C’est en Union soviétique que les rouges brisent les reins de la Wehrmacht, bien avant le débarquement des Alliés en France. Après, on s'y perd un peu en scénario et le jeu s'attarde toujours autant sur l'ouest avec toute la quincaillerie anglo-saxonne lors du débarquement allié. Résultat, Overlord est clairement la partie la plus dur du jeu (à mon sens) lorsqu'on joue l'Axe. Il faut vraiment économiser un max pour préparer cette map.

...en mm temps, si l'esprit historique était respecté, avec une seul unité de Tigre II, j'aurai dû pouvoir bouffer tous les blindés alliés en moins de 5 tours et reprendre position avec mes unités de fantassin lors du débarquement ... ouais, tiens, je vais demander à me faire rembourser ! Y'a arnaque !


A noter, j'ai pu voir (mais pas jouer) un mod excellent sur le Workshop de ce jeu. Je sais déjà que j'y reviendrai.

On peut peut-être le trouver un peu cher (si on prend en compte sa date de sortie) mais vaut son prix.
Pour moins cher, on peut se tourner vers Panzer Tactics.
Posted May 20, 2016. Last edited May 20, 2016.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
7 people found this review helpful
0.2 hrs on record
Ceci n'est pas un jeu mais un mémoriel vidéoludique des plus noirs et montre l'un des aspects les plus sombres de l'humain.
J'ai été assez mal à l'aise l'espace de quelques secondes une fois arrivé à la fin (8min pour finir).
En descriptif, il est dit que chacun comprend ce qu'il veut. Pourtant, le court texte de fin est assez explicite sur la chose.
Posted April 14, 2016.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
8 people found this review helpful
6.6 hrs on record (5.9 hrs at review time)
A la sortie du jeu, je m'étais écrié "Me le faut!". Son style nerveux, la musique pétante, les tirs de rafale de partout. Tout ça donne une impression furieuse et on a envie de s'y essayer. Pis les commentaires sont en grande partie élogieuses pour ce jeu.

Une fois les mains sur le jeu, on en fait très vite. Une seule zik avec le même thème qui change légèrement en fonction des 3 équipements (arme/corps/réacteur) choisis pour votre avion. Il lui manque finalement un petit mode histoire, un mode online (pourquoi pas un versus?) et pas de vrai but hormis celui de scorer encore et encore. Ce qui le rend très vite lassant (on peut certes y revenir régulièrement pour de petites sessions comme tout bon shooter qui se respecte).

J'ai passé d'excellent moments à y jouer mais même pour scorer je le trouve ingrat. Je pu passer 10 parties à dodge les tirs, à focus les gros ennemies pour finir avec un score moyen et la partie suivante m'amusant à jouer un peu à l'arrache finir avec mon meilleur score... (ce qui avait tendance à m'irriter un peu. Il faut juste se contenter de focus le max combo et de le maintenir le plus longtemps possible).

Dans tous les cas, j'ai apprécié y jouer mais je ne le conseillerai pas. La raison est que je m'attendais à un jeu plus touffu, une meilleur courbe de progression, justifiant un minimum son prix demandé et j'ai l'impression de jouer à un jeu flash pensé pour le web (car il me semble que c'était un jeu flash à son origine).

Si vous le prenez, pensez bien que vous jouerai à un shooter en pixel art bien baveux sur un seul et même tableau avec une seul musique avec un seul et même thème et un système de scoring peu méritant et avec une courbe de progression pas fou fou.
Posted November 13, 2015.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
< 1  2  3  4  5 >
Showing 1-10 of 46 entries