jojolebarjo
jojo   France
 
 
tirelipimpon
Currently Offline
Traductions françaises
:AcademiaScience: Academia : School Simulator
---------------------------------------------------
:wololo: Kingdoms : Reborn
---------------------------------------------------
:steamthis: Dealer's Life 1 & 2
Review Showcase
Batman est affaibli, malade comme son amour de Joker. Il va voir le Docteur, mais il finit par trouver son propre remède.

Celui de la légende.

Arkham City est magistral, du début à la fin. On est au coeur du plus fragile des héros, terrifié et terrifiant, qui gagne un galon supplémentaire avant son apogée -- son adoubement -- dans le volet suivant.
Review Showcase
Bien sûr que je recommande ; RDR2 m'a ouvert les yeux sur la potentielle profondeur du média. Cependant, malgré mon émerveillement, ma gorge serrée et le précieux temps investi à cause de ce chef-d'oeuvre, son caractère terriblement imposant a un je-ne-sais-quoi d'étouffant : pour le joueur, pour les employés de Rockstar, et même pour Arthur Morgan.

Ici nul n'échappe à la tuberculose. On est soulagé, quand le jeu finit. On a trop craché notre propre sang dans l'histoire. L'épilogue réconcilie, édulcore, allège ; mais la rigor mortis a déjà eu lieue malgré la nouvelle chaleur de Blackwater. On n'oublie pas si facilement. Arthur nous colle à la peau. On l'a incarné.

RDR2 demande : qui suis-je, moi, le joueur ? -- de quoi suis-je responsable ? -- suis-je vraiment immortel ? On se réincarne avec perte et fracas. RDR2 est une bombe pathétique. C'est le fauteuil magique de Proust : on n'a jamais été aussi proche de son écran. Cette parfaite superposition ne peut qu'accentuer le Noir Miroir de l'écran qui s'éteint.

Quand on finit RDR2, on commence à vivre neuf.
Recent Activity
4.4 hrs on record
last played on Apr 16
309 hrs on record
last played on Apr 16
2.2 hrs on record
last played on Apr 15