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467.6 hrs on record (239.6 hrs at review time)
50 Mystical Scroll
Posted June 19, 2023.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
27 people found this review helpful
3 people found this review funny
696.5 hrs on record (306.6 hrs at review time)
Premières impressions :

J’apprends à pêcher.
A maraîcher, commercer, massacrer, explorer, dépecer, à planter et à récolter, à domestiquer, dépecer, rapiécer, entreposer, à cuisiner, à malaxer, à mixer et à sécher, à commander, à croiser, à concasser, à me perdre surtout. Au contraire des MMO parcs à thème façon World of Warcraft où la progression est sur rail, Black Desert Online, le bac à sable du studio coréen Pearl Abyss, fascine parce qu’il nous désoriente.
[...]
Quand on apparaît pour la première fois au monde, après une cinématique incompréhensible, on pourrait presque se croire en terrain familier. Il y a des quêtes et des monstres à tuer, une histoire d’amnésie, de grand pouvoir, et d’esprit noir qui nous guide. Mais très vite, on s’enchante : le jeu ne fait pas de nous un élu, un héros grandiloquent promis à l’épique. On a beau être capable de massacrer les ennemis par dizaine à grands coups rageux, dans Black Desert, on joue plutôt un pícaro, qui part tout en bas de l’échelle et va devoir mettre la main à la pâte s’il veut faire quelque chose de sa vie. Le mage badass, l’archère surdouée vont devoir mettre de côté leur orgueil, et aller ramasser des épis de maïs, apprendre à cuisiner la soupe de poisson, causer avec le valet d’écurie. Passé les premières heures en guise de didacticiel, cette singulière déflation des enjeux a quelque chose d’une libération : plus de contrainte, pas de monde à sauver ou de donjon à parcourir en boucle, mais le droit de gambader dans les prairies pour fabriquer ce que l’on entend.
Posted November 22, 2017.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
9 people found this review helpful
0.9 hrs on record (2.4 hrs at review time)
Ce qu'il y a de bien, avec Brothers : A Tale of Two Sons, c'est que le titre permet déjà bien de résumer le pitch du jeu, qui ne s'articule pas - comme on a l'occasion de le voir bien souvent - autour d'un personnage principal entouré de persos plus ou moins secondaire, mais bien autour d'un véritable duo. Enfin, plus qu'un duo : deux frères, qu'il conviendra de faire évoluer d'égal à égal au sein d'un monde bien hostile et froid.

Alors pourquoi ce voyage ? Pour faire simple, notre fratrie part à la recherche d'un remède bien mystérieux pour guérir leur papa atteint d'un mal tout aussi mystérieux. La Mort rôde autour de cette famille, vu que la mère a péri quelques temps plus tôt dans un accident de bateau qui a laissé quelques séquelles psychologiques à l'un des deux frères.

L'essentiel, pour commencer le jeu, est la maniabilité quelque peu innovante, ou tout du moins relativement originale, du titre. En effet, les deux frères étant traités d'égal à égal, il faudra les diriger de concert grâce au 2 sticks analogiques de la Dualshock, leurs actions se limitant aux boutons L2 et R2. Sur le papier, ça n'est donc pas bien compliqué, mais c'est en jouant à Brothers qu'on se rappelle qu'être ambidextre (je ne sais pas si c'est le terme exact car finalement c'est nos deux pouces qui sont surtout sollicités) est loin d'être à la portée du premier venu. En effet, on se surprend, de temps en temps, à envoyer nos deux frères dans des directions pas très cohérentes car on a mal appréhendé la coordination de nos mouvements sur la manette.

Bien entendu, il existe quand même quelques différences entre nos deux héros. L'aîné aura la capacité d'actionner des mécanismes plus lourds ou plus difficiles, ou encore de faire la courte-échelle à son cadet, qui lui disposera de la capacité de se faufiler dans des lieux plus exigus. Tout l'intérêt du gameplay sera de vous mettre dans des situations dissymétriques alors que les deux frères doivent emprunter des chemins certes proches (car il est impossible de les séparer) mais différents.

Du point de vue du gameplay pur, l'architecture de Brothers repose uniquement et exhaustivement sur ce concept. Le level design permet de décliner cette idée et il présente quelques bonnes mises en situation, qui montrent néanmoins rapidement la limite de leur diversité. Et de toute façon, vous aurez peu de chance de vous faire gagner par la morosité, car le titre est plutôt court (je dirais 2-3 heures) pour un run. Et finalement, quand on arrive à la fin, on se dit "C'est tant mieux" car ça nous évite de voir les quelques idées du soft tourner en rond.

Finalement, Brothers me fait pas mal penser, dans son concept narratif et dans son évolution, au jeu Journey. Plus que la maniabilité originale ou le trip autour des deux frères, c'est bien le voyage que vont accomplir nos deux fils qui est - pour moi - au centre du jeu. C'est ce qui m'a motivé à aller de l'avant.

Vous le constaterez, le monde que vous allez traverser est bien triste, emplis de malheurs passés et de cadavres. Un monde dont on a le sentiment qu'il tente de panser ses plaies après une longue agonie. Un monde rempli de créatures terrifiantes, hors de notre portées, bien supérieures en force et en moyen, surnaturelles pour certaines, en tout cas emplies de mystère. Et là où le jeu est selon moi intelligent, c'est qu'il réussi à nous faire percevoir cette situation, parfois de façon explicite, bien entendu, mais également et surtout en ne nous faisant entr'apercevoir que quelques bribes de situations. L'amorce - ou l'aboutissement - de ces désastres vous est montré, mais tout le reste est suggéré.

Et personnellement, quand j'ai avancé dans cette histoire, c'était avant tout pour découvrir la suite de ce monde si triste, mais également si beau. L'esthétisme de Brothers est en effet son aspect le plus réussi. C'est un jeu très court et très imparfait, superficiel même dans l'utilisation qu'il fait de son concept central, mais dont la beauté froide et simple a su suffisamment m'émouvoir pour me porter pendant ces trois heures.

J'aimerais également porter mention de la qualité de l'ambiance sonore du titre, à la fois pour le dialecte mystérieux employé par les différents personnages, comme pour les différentes musiques qui sonnent assez justes avec l'aventure.

C'est court, mais c'est beau. C'est avant tout un voyage de deux frère dans un monde dont le vide et le silence masquent l'inhospitalité. Et finalement, si ça avait été plus long, je pense qu'on aurait commencé à s'ennuyer. Comme je l'ai dit au début, le titre ne mentait pas : c'est avant tout un conte autour de deux fils. C'est Brothers.
Posted November 23, 2016.
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34 people found this review helpful
21.1 hrs on record
Après un épisode décevant, Wolfenstein est de retour avec l'épisode The New Order. Pour ressusciter la licence, les développeurs ont pris plusieurs risques que cela soit sur l'aspect narratif, un gameplay old school et l'absence de multijoueur. Cela sera-t-il suffisant?

La Führer de vaincre.

1946. La seconde guerre mondiale dure plus longtemps que prévu à cause du Général Strasse qui fournit aux nazis robots et autres technologies de pointe. Les Alliés l'ont bien compris et tentent le tout pour le tout en lançant une offensive d'envergure sur le château du Général. Malheureusement l'opération sera un échec et notre héros, BJ Blazkowicz, sera gravement blessé à la tête, ce qui le laissera dans un état végétatif pendant plus de quatorze ans! 1960. Les nazis ont remporté la guerre et dominent le monde. C'est aussi l'année où notre Schumacher décide de se réveiller pour rejoindre la Résistance et régler ses comptes une bonne fois pour toute avec Strasse alias Le Boucher. si vous n'accrochez pas à l'histoire, vous n'aimerez pas le jeu. Mais qui peut résister à une histoire badass avec des bases lunaires nazies, des camps de concentration nazis, des mécha nazis et... de la technologie Alien juive !

Personne
Posted May 24, 2014.
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16 people found this review helpful
51.8 hrs on record (24.3 hrs at review time)
Décu... Oui je suis décu... Après l'avoir attendu comme le Saint Graal, annoncé comme LE jeu South Park, de l'avoir terminé en moins de 12h en difficulté maxium.
Alors oui, ce South Park est beau, le gameplay tient la route sans problèmes a condition de jouer a la manette ( même pas la peine de compter sur le clavier et la souris c'est injouable ), le scénario et la mise en scène sont exactement ce a quoi l'on s'attendait: Un bon gros épisode interactif. Mais bon sang que ce jeu manque de contenu et de challenge ! Le scénario se boucle en 7 heures, on trouve trop peu de quêtes annexes et même en difficulté maximum le jeu n'opposera absolument aucune résistance au joueur moyen.
Tout de même, mention spéciale a fan service absolument démentiel puisqu'on décompte des références à absolument touts les épisodes de la série sans exceptions, et ce même dans certains objets des plus inutiles récupérés en jeu destinés uniquement à contenter les fans que nous sommes ! En bref, une aventure palpitante mais bien trop facile et courte !
Posted May 19, 2014.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
11 people found this review helpful
11.1 hrs on record (10.9 hrs at review time)
Income by far reboot Strider is ultimately a good surprise of this year. Modernized through a Metroidvania approach that takes the road, playing Double Helix offers a good cocktail exploration platforms and action. Hiryu is pleasant to handle, either in terms of movement or combat. Clashes are enriched with a simple but effective system upgrades. That said, we regret recycling bestiary inconclusive dubbing and implementation 2.5D that will cry pixel art lovers. Fans of the first hour should still find their account, while newcomers will surely see an opportunity to discover a franchise coming straight from Capcom for the big time.
Posted February 20, 2014.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
6 people found this review helpful
19.0 hrs on record
Ce jeu est un grand pas en arrière et revient au temp de Might and Magic 6 qui a été publié il ya 15 ans.

Se déplacer est restrein , armes et armures n'ont pas de textures, les sorts sont très pauvres, vous pouvez vous battre 3-4 ennemis en même temps, aucun mouvement durant les combats. Déception totale.

Ce n'est pas un Might and Magic X. C'est Legend of Grimrock 2. Ne laissez pas le nom vous tromper.
Posted February 1, 2014.
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31 people found this review helpful
34.2 hrs on record

Pour les débutants, le jeu devient un peu répétitif quand vous êtes poussée d'un combat à l'autre. Ce n'est pas un RPG classique, mais quelque chose de plus proche des FF tactiques .

Cela étant dit, le combat est amusant, l'histoire fascinante, des personnages intéressants avec skilltree détaillée . Certain combats peuvent être assez dur et le système de combat peuvent devenir un peu ennuyeux parfois mais rien qu'un rechargement ne peuvent pas résoudre. J'aime le fait que vous avez réellement besoin de vous préparez avant de passer à la prochaine bataille que vous ne pouvez pas appuyer sur la touche d'inventaire et commencer à échanger des armes ou en utilisant les éléments.

Dans l'ensemble un jeu solide et un jeu a la peine (graphisme,redondance). Juste essayer de limiter vos sessions de jeu à 1-2 heures. Personnellement, toute session de jeu plus de 2 heures tend à devenir pénible.
Posted February 1, 2014.
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5 people found this review helpful
22.0 hrs on record (19.6 hrs at review time)
Projet un peut fou d'un Américain qui se concrétise sur kickstarter et évidemment Greenlight .
Il décide de le faire seul , bien aider part une petite communauté apparemment qui l 'aide dans son projet
le résultat final est Paper Sorcerer , un bon petit donjon Crawler qui n'on seulement reprend les meilleurs du genre mais ne se repose pas sur les lauriers de son aspect visuel et enfonce le clou par des mécanismes qui ne sont définitivement pas en reste. Les rouages des combats sont d'une consistance saisissante, bien stratégiques et intelligents comme il le faut avec notamment leurs systèmes de défense et d'énergie. Le panel des compétences et la flexibilité des compagnons font que les affrontements réstent toujours bien prenants et variés, malgré le fait qu'ils se cantonnent à de simples images statiques. La customisation des personnages, un peu limitée aux premiers abords, admet finalement suffisamment de subtilité pour préserver le plaisir de la progression et du crawling. Au final, les (vrais) amateurs des Wizardry devraient sans le moindre doute être conquis.
Posted January 24, 2014.
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13 people found this review helpful
51.9 hrs on record (51.1 hrs at review time)
As a fan of the first hour of the previous episodes, I expected this reboot forward but especially with anxiety.

In the end, XCom is a good game though as was feared the current trend towards casualization and developing multi -platform bcp made ​​him evil and prevent it from reaching the ankle of his predecessors.

Database management part is very successful. While it no longer supports a single base , you can not implement it where you want the satellite system coverage is rather rude but it's still very pleasant to build its base, managing research and production.

Where the recipe takes a little less is the tactical part . Already we see that the missions were very little different objectives but also the flow of the game is ultra- linear.
During the missions, it's worse. Finished inventory soldiers , also ended the possibility of picking up objects (your healer is on the ground in agonizing , and although his classmates are too idiots to pick up his medkit and save his life Oo ) also finished ammunition to manage because they are unlimited ...

But the most annoying it still remains the disappearance of the "Time Units " alias action points. Here every soldier is entitled to 2 shares per turn. Stepping aside so taking so long qu'avancer 15 meters. Ridiculous, and I would even rather incomprehensible in a tactical game ...

Add to this that the environments are downright small ( and are not randomly generated over), the camera is picking up the indoors and the enemies do not move a muscle as you did not see and we can only say that, promising to respect the spirit of the license , and the shouting around for months , developers we have a little smoky or they have not really played the first episodes.

Yet despite all these flaws, the game is fun. Certainly it is only vaguely X -Com and game mechanics were massacred chainsaw and yet it takes to chain missions, to improve its toy soldiers , expand its base etc ...
Posted January 15, 2014.
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